1 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
1 suader qu’il ait été décisif dans sa vie. Si l’on considère d’une part la sainteté des œuvres qu’il pratique et d’autre part les
2 1951, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Réplique à M. Lasserre (mars-avril 1951)
2 ment permise. M. Lasserre veut croire que je n’ai considéré que l’intérêt européen : c’est sa « grave erreur liminaire ». J’ai na
3 1968, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Pour une morale de la vocation (1968)
3 fier, mais non pas les principes du devoir moral, considérés comme révélés, invariables désormais et au surplus indispensables au
4 pectives, du côté chrétien, me semblent enclins à considérer comme un malheur, voire une catastrophe, cette probabilité d’une sécu
5 mence donc par la fin. Avant toute chose, il faut considérer la fin. 4. La fin seule justifie les moyens, dans la mesure où elle e
6 vie ou à la peine de mort). Mais si la morale est considérée comme un système de normes conventionnelles adoptées par une société,
7 u à peu sacralisé au cours des âges et finalement considéré comme des vérités de foi, révélées et indiscutables, des coutumes qui
8 argument : 1. j’estime qu’il y a tout avantage à considérer les préceptes et codes de la morale comme les règles du jeu d’une soc