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éfice pour la foi, — bien plus, que les chrétiens
considèrent
cette paix comme un bien supérieur à la lutte, qu’ils l’organisent, l
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ulent en tirer des intérêts, abusent de ce qu’ils
considèrent
comme un privilège, le perdent par là même, et dérogent, mais s’obsti
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res yeux, voire pour glorifier ce qu’il répugne à
considérer
comme sa peine. Nous assistons au triple échec du cynisme grossier —
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andeur que nous proposons tous ici, c’est l’homme
considéré
dans sa vocation créatrice, — c’est la personne. Que la mesure de tou
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ce philosophique que l’auteur voudrait d’ailleurs
considérer
comme le bien commun de sa génération. 1. L’indéfinissable concret
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C’est pourquoi ils se trompent du tout, ceux qui
considèrent
l’homme, dans leurs calculs, comme un facteur indifférent, comme un o
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nt méconnu leur angoisse ; faute du courage de la
considérer
en face — ce courage que donne seule la foi — ils se sont mis à décla
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rces telluriques. Keyserling disait un jour qu’il
considérait
à cet égard la révolution hitlérienne comme un phénomène incomparable
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t dans une psychanalyse du sérieux universitaire,
considéré
comme traduisant une fuite devant l’actualité de la pensée, autrement
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’est la seule chose qu’on ne lui ait pas apprise.
Considérez
ce pauvre clerc parfait tel que le livre l’Université : que sait-il f
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es qui en résulte. De là sa théorie de la culture
considérée
comme une simple superstructure du dynamisme matériel. On sait à quel
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. Ceci revient à dire que la lutte des classes, —
considérée
comme symbole de l’action — et la configuration de la vie, qui requie
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nc avec sérieux notre examen de la valeur du Plan
considéré
comme mesure culturelle, sans plus tenir compte de ces énormités peut
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x mystérieuses mais je crois à l’appel des faits.
Considérons
les temps et les lieux où nous vivons, la situation précise qui nous
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servis aux disciplines extérieures d’un parti, ne
considèrent
pas l’acte d’écrire comme un divertissement sans conséquence. Il exis
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note chez la plupart des mystiques, doivent être
considérées
comme des pseudo-hallucinations, qui, à la différence des hallucinati
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e pas précisément notre prestige. Chez nous, l’on
considère
volontiers que la neutralité nous est due, comme l’air et les beautés
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mour humain : la passion. Ignorée des Anciens, ou
considérée
par eux comme une maladie, la passion sera désormais le grand sujet d
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» Dès le xiie siècle provençal, l’amour était
considéré
comme noble. Non seulement il ennoblissait mais encore il anoblissait
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ement fédéraliste (et non régionaliste) doit être
considéré
comme l’un des premiers actes du réveil « pluraliste » que nous appel
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ais que l’Apôtre a raison, et si je l’accepte, je
considère
alors l’équilibre imparfait du mariage dans une perspective ouverte e
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e devrait se poser qu’à partir de cette promesse,
considérée
comme absolue. La problématique du mariage n’est pas du cur, mais du
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eligion de la vie, s’y oppose diamétralement. Ils
considèrent
la fidélité comme une discipline imposée (aux humeurs et désirs spont
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agit de s’évader hors de tout engagement concret,
considéré
comme une odieuse limitation. ⁂ Pour moi, renonçant d’emblée à toute
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rcice de la fidélité envers une femme accoutume à
considérer
les autres femmes d’une manière tout à fait nouvelle, inconnue au mon
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tan ; j’ai connu des amants chrétiens qui eussent
considéré
cette phrase comme une cynique méconnaissance de leur piété… 94. Plu
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nt, s’il le faut. Dans ma dissonance obstinée, je
considère
que le chrétien, c’est un homme qui choisit sans retour, et qui décid
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ps ?) Un amour dont l’exaltation cependant, était
considérée
par les anciens comme une maladie de l’âme. Mais à partir du xiie si
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l’exaltation de cet amour naturel est subitement
considérée
comme vertueuse, ennoblissante. C’est en tant que le désir est exalté
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plaise aux sectaires de tous bords. […] À l’homme
considéré
comme pur individu, libre mais non engagé, correspond un régime démoc
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e, lequel prépare toujours la tyrannie. À l’homme
considéré
comme soldat politique, totalement engagé mais non libre, correspond
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orrespond le régime totalitaire. Enfin, à l’homme
considéré
comme personne, à la fois libre et engagé, et vivant dans la tension