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usque dans le détail par une idée fixe primitive.
Considérons
-la sous cet angle. Il y a d’abord la vision de l’auto routière : nais
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ici des déclarations plus nettes encore : « Je ne
considère
pas les machines Ford simplement comme des machines. J’y vois la réal
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ive de Dieu que nos savants nomment mysticisme et
considèrent
comme un « cas » très spécial, — on les écarte des engrenages où ils
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uts de civilisation. C’est ainsi que la pauvreté,
considérée
par les civilisations spiritualistes comme le bien suprême dont seuls
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ple, le christianisme primitif) — la pauvreté est
considérée
de nos jours comme un mal absolu et honteux. C’est ainsi encore que l
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pose. Je la formulerai brièvement : Tant que l’on
considère
la « question » sociale et que l’on en « discute », c’est irritant, v
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ière de concevoir celle-là. Tant que la vie était
considérée
comme le lieu où s’exerçait la volonté, où se formait le caractère, l
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e leurs gloires ? Ne doivent-ils pas au contraire
considérer
celles-ci comme leur accusation perpétuelle ? Car la vraie question q
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, plus longtemps qu’ailleurs, le « grand public »
considéra
que la lecture d’un livre n’était qu’un moyen de « passer une heure a
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pas d’expression plus juste, pour qui se borne à
considérer
notre époque et les doctrines infiniment contradictoires qui s’affron
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in, il faut que nous ayons pris l’habitude de les
considérer
comme autant de réalités autonomes, possédant leurs lois propres, éch
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catégorie » lui soit si familière qu’il puisse la
considérer
, sans autre, comme donnée ? La tentation est forte, de passer d’une c
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mer dès maintenant : la théologie de l’œcuménisme
considère
que la diversité des vocations divines n’est pas une imperfection de
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uerai pas ici sur l’unité d’organisation romaine,
considérée
comme nécessaire au salut. Mais je rappellerai les critiques que Karl