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beaucoup de leur majesté redoutable, dès que l’on
considère
que le concret de l’homme réside dans ses actes et non pas dans ses m
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pas d’expression plus juste, pour qui se borne à
considérer
notre époque et les doctrines infiniment contradictoires qui s’affron
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in, il faut que nous ayons pris l’habitude de les
considérer
comme autant de réalités autonomes, possédant leurs lois propres, éch
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n. 16. Littré donne : « Individu. 1° Tout corps
considéré
comme un tout distinct par rapport à l’espèce à laquelle il appartien
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t éternelles » (Voltaire) ; … 3° l’être personnel
considéré
par opposition à l’état ou à la société ; 4° homme que l’on ne connaî
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mique suppose une anthropologie particulière, qui
considère
l’homme dans ce qu’il a de plus animal, de plus aveuglément soumis à
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terrestres, mais impliquant l’activité de l’homme
considérée
comme un service nécessaire — voilà peut-être définie l’attitude chré
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t des méthodes opportunistes que l’on vante. Il a
considéré
la somme des réussites et des échecs humains, et sur cette somme, il
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néfice pour la foi — bien plus, que les chrétiens
considèrent
cette paix comme un bien supérieur à la lutte, qu’ils l’organisent, l
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ulent en tirer des intérêts, abusent de ce qu’ils
considèrent
comme un privilège, le perdent par là même, et dérogent, mais s’obsti
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d’endosser le reproche de lâcheté. Le chrétien le
considère
comme un homme qui refuse d’accepter, dans toute sa violence, la ques
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, pour rebâtir un monde à la mesure de l’individu
considéré
comme autonome, et « calculable » humainement. Le Plan est d’ores et
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ntenant la vraie défense de l’homme, — de l’homme
considéré
comme le lieu naturel du nécessaire conflit de l’ange et de la bête ?
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tes. Il satisfait aussi les techniciens, ceux qui
considèrent
un pays comme une entreprise dont il s’agit de tirer le rendement mat
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oderne et dans la conception abstraite de l’homme
considéré
comme individu atomique. Or ces deux conceptions sont également à la
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ans le système parlementaire. C’est pourquoi nous
considérons
le communisme comme l’agent le plus perfectionné de la désagrégation
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la personne. L’égalité contre la fraternité
Considérer
l’homme en tant qu’individu abstrait (principes de 89 — marxisme) et
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’il a une vocation particulière dans la société.
Considérer
l’homme en tant que personne et fonder sur cette personne toutes les
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ève généralement la méfiance unanime, et que l’on
considère
comme une tricherie. Et pourquoi le chrétien a-t-il ce droit ? Parce
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u’envie au commun des mortels. Ils n’osent pas la
considérer
en face. Tant qu’elle restait purement théorique, on la célébrait, so
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néral passe de 104 en 1919 à 125 en 1923. Si l’on
considère
l’une après l’autre les diverses industries, on constate des chiffres
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ue quasi universelle. Que le « travailleur » soit
considéré
comme une matière inerte, une quantité calculable, justiciable de la
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res yeux, voire pour glorifier ce qu’il répugne à
considérer
comme sa peine. Nous assistons au triple échec du cynisme grossier —
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ne de la pensée ; refus du nationalisme mystique,
considéré
comme une captation, au profit de l’État et de la finance, du sentime
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urope (Plon). Sur les problèmes généraux du temps
considérés
dans la perspective de l’ON voir Daniel-Rops : Éléments de notre dest
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rel, fondement sur le plan politique, des partis,
considérés
comme les organes indispensables de toute « réalisation pratique ». E
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s ont l’air bien souvent de s’opposer. À force de
considérer
d’une part qu’il n’est d’autre révolution que la révolution matériali