1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Préambule
1 grands quais de ce port atlantique, j’en étais à considérer d’un œil brûlé par l’insomnie les flots de l’océan maussade et les pa
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
2 i rapporte, « ça dépend des années ». Pédenaud me considère comme riche (sinon dépenserais-je tant à son guichet ?) mais s’il sav
3 ague et passionné sur l’infini néant des eaux, je considère à mes pieds les dessins du sable qui s’écoule à chaque retrait des va
4 nt ici avec tant d’aisance, ai-je le droit de les considérer comme les symboles visibles de l’univers intérieur de ces gens ? Je m
5 ttaquer dans mon activité professionnelle, que je considère comme sacrée ! » En somme, être laïque, c’est être religieux au vrai
6 ue vous sauriez faire dans vos allées ; et je n’y considère pas autrement les hommes que j’y vois que j’y ferais des arbres qui s
7 ut je trouve ces deux phrases splendides : « J’ai considéré tout cela d’un regard tranquille et subtil, et je me suis réjoui de c
3 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
8 n’ont pas pu vendre au marché. Cependant, ils se considèrent comme des privilégiés, cela se sent à la manière dont ils nous parlen
9 e 1934 (Suite du précédent.) — Du rationalisme considéré comme la philosophie des célibataires9 — des États malthusiens — et d
10 e jamais. Mais elles ne paraissent pas du tout se considérer comme un type social d’exception. Combien y a-t-il de classes entre l
11 voir aussi crûment avouées, m’oblige enfin à les considérer sans faux-fuyants sentimentaux. Là-dessus, deux remarques : 1. — On
4 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
12 scend sans se retourner. Août 1935 Le métro considéré dans sa réalité sentimentale, sensuelle et sensible (ou sensorielle p