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our exprimer les vérités de la science : nous les
considérons
en effet d’une manière parfaitement « profane », et elles ont donc to
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formule est sans doute exacte, si l’on se borne à
considérer
la donnée sèche du Roman. Elle n’en paraît pas moins vexante et « pro
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Résumé de la sorte, et tout « charme » détruit, à
considérer
froidement le plus envoûtant des poèmes, on s’aperçoit que sa donnée
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la catastrophe — et non point sa rapide flambée.
Considérez
notre littérature. Le bonheur des amants ne nous émeut que par l’atte
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estre. Et son Bonheur nie tout bonheur terrestre.
Considéré
du point de vue de la vie, un tel Amour ne saurait être qu’un malheur
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par ce livre.) 7.Hérésie et Poésie Doit-on
considérer
les troubadours comme des « croyants » de l’Église cathare, et comme
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u’il fut hérétique. Mais venons-en aux textes, et
considérons
-les dans la très pure nudité et transparence de leur rhétorique amour
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s. Or je le répète, je me refuse, pour ma part, à
considérer
comme absurde une poétique et une éthique de l’amour d’où sont issues
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est clair que les troubadours n’étaient nullement
considérés
comme des prédicateurs ni comme des militants ; au mieux comme des «
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me, dans tout cela ? Elle reste objet d’un culte.
Considérée
comme « source unique de joie et de repos, l’amante synthétise toute
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ont pour but « l’autonomisation » de la volupté —
considérée
comme l’unique expérience humaine qui peut réaliser la béatitude nirv
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breton. Ce principe, c’est l’amour de la douleur
considérée
comme une ascèse, le « mal aimé » des troubadours. Voici Tristan livr
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n reste pas moins que dans l’ensemble, et si l’on
considère
surtout le principe interne de l’action, Tristan évoque par la plupar
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entendement ravi », le « rapt » d’amour. L’amour
considéré
comme « connaissance » suprême (canoscenza en provençal). Sur quoi l
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autant, si ce n’est beaucoup plus, que de Balzac (
considéré
alors comme réaliste). Pour en revenir au xiiie siècle, a-t-on bien
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ve siècle, en refait une version en prose. Dante
considère
le cycle épique et romanesque de la France du Nord comme le modèle un
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et sociale que celle des hérétiques du Midi. (Il
considère
par exemple le mariage comme un « remède contre l’incontinence ».) Au
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noire à la place de la blanche que l’on vient de
considérer
, l’éclipse du mythe devait faire apparaître l’antithèse absolue de Tr
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ents qu’il vaut mieux réserver pour plus tard158.
Considérons
ici le Don Juan du théâtre159 comme le reflet inversé de Tristan. Le
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portait l’âme vers la lumière et l’unité divine,
considéré
du point de vue de ce monde n’est plus qu’un élan vers la mort, une s
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gieuses ou morales. À dire vrai, les seuls écarts
considérés
comme intolérables sont ceux qui entraînent une dilapidation du « pat
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âme qui portée à cette hauteur par Dieu lui-même,
considère
toutes choses sans être enchaînée par aucune. » 147. Le Déclin du Mo
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ers les siècles suivants. Si bien que l’on pourra
considérer
tout changement dans la tactique militaire comme relatif à un changem
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Cet art de guerre exprimait dans son plan — alors
considéré
comme inférieur — une culture admirablement humanisée, une « civilisa
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oyen Âge. Gloire du sang ! Mais le xviiie siècle
considéra
comme une réussite glorieuse d’avoir pris une ville assiégée en ne fa
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préciser : ce n’est pas le cœur de chaque soldat
considéré
comme un héros qui décidera du sort d’une guerre, mais bien le cœur c
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théorie analogue à propos de la tragédie grecque,
considérée
comme l’Auseinandersetzung (la discussion, la querelle, l’explication
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» Dès le xiie siècle provençal, l’amour était
considéré
comme noble. Non seulement il ennoblissait mais encore il anoblissait
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raire par le moyen d’une nouvelle « expérience »,
considérée
comme telle, et d’ailleurs affectée dès le départ des mêmes motifs d’
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der Gnosis.) 203. Encore que la faute soit alors
considérée
moins par rapport à la morale en soi, que sous l’aspect du risque et
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ais que l’Apôtre a raison, et si je l’accepte, je
considère
alors l’équilibre imparfait du mariage dans une perspective ouverte e
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e devrait se poser qu’à partir de cette promesse,
considérée
comme absolue. La problématique du mariage n’est pas du cur, mais du
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eligion de la Vie, s’y oppose diamétralement. Ils
considèrent
la fidélité comme une discipline imposée (aux humeurs et désirs spont
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agit de s’évader hors de tout engagement concret,
considéré
comme une odieuse limitation. ⁂ Pour moi, renonçant d’emblée à toute
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rcice de la fidélité envers une femme accoutume à
considérer
les autres femmes d’une manière tout à fait nouvelle, inconnue du mon