1
n, nivellement, amorcé de longue date ? Tout bien
considéré
, n’a-t-elle pas été l’un des maillons d’une longue chaîne, dont les é
2
niveau collectif de la nation, de l’État ; l’État
considéré
comme un individu, comme une personne, qui a sa vocation, qui doit l’
3
nion est d’abord religieux. 3. Son territoire est
considéré
comme le centre du monde. 4. Tout ce qui est hors de la tribu est imp
4
is, au début du xive siècle. Le roi de France se
considère
comme empereur, déclare donc qu’il n’est plus le vassal de personne,
5
’exerçant d’abord sur la nation (les hommes étant
considérés
comme les sujets de l’État) et aussi à l’égard des autres États. Cela
6
ste. 29 octobre 1965 Il est évident que l’Europe,
considérée
comme un ensemble, comme une possible union politique, présente les d
7
ou même entités économiques. 20 mai 1966 Si nous
considérons
, dans leur ensemble, deux exemples d’évolution de type fédératif, cel
8
ée d’une “nation” éternelle. À l’inverse, il faut
considérer
que l’homme est créateur de son histoire, qu’il n’est pas soumis à de
9
ée au bien, c’est-à-dire au type d’homme que l’on
considère
comme idéal, des utopies conçues non pas à partir d’aujourd’hui, mais
10
es communautés. Il sera, comme le dit Protagoras,
considéré
comme la mesure de toute chose, donc la base même de toutes les valeu
11
dividu fois vocation — à la puissance de la cité,
considérée
comme la somme et le produit de toutes les activités économiques, int
12
8 La grande nouveauté, c’est que la politique est
considérée
par Rousseau comme l’affaire de tous et de chacun, alors que chez les
13
e qu’en ont tirée les jacobins. Est-ce qu’on peut
considérer
Rousseau à juste titre — comme l’ont fait beaucoup d’auteurs modernes
14
ant, donc centralisé, la réduction des diversités
considérées
comme des gênes, l’exaltation de la grandeur, le dogme de la souverai
15
rop souvent l’agent exclusif de toute politique ?
Considéré
objectivement, c’est-à-dire débarrassé de son aura sacrée, celui-ci n
16
le cours des événements n’a pas démenti, si l’on
considère
les étapes récentes de la “régionalisation” en Espagne et en Italie,