1 1940, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Erreurs sur l’Allemagne (1er mai 1940)
1 n réfuté l’erreur que je viens de relever, et qui consiste à voir dans l’hitlérisme une tyrannie « de droite », détestée par les
2 1949, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe est encore un espoir (8 décembre 1949)
2 a chute qu’elle imagine. Cette illusion d’optique consiste à voir une toute petite Europe ruinée entre deux colosses agressifs.
3 1962, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Rectification (9 mars 1962)
3 ons. En effet, « l’essentiel » de mon discours ne consistait nullement, comme l’écrit votre collaborateur, à « vitupérer » l’espri
4 1962, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe est d’abord une culture (30 juin 1962)
4 aits qu’ils tiennent pour essentiels : leur union consiste donc à restaurer ou à consolider par des institutions communes leur u
5 1964, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il nous faut des hommes de synthèses (19-20 septembre 1964)
5 n exigée par les dimensions mêmes d’un projet qui consistait à dépasser la mesure naturelle par l’artifice humain. L’oubli de l’
6 s se sont jetés dans une aventure prodigieuse qui consiste à modifier les données initiales « naturelles » de la vie, non plus (
7 nt concevables. a) La première, souvent proposée, consisterait à imposer des cours de culture générale, un studium generale, aux étu
8 as une matière enseignable. Elle ne peut vraiment consister que dans une attention en éveil permanent aux implications générales,
9 on maîtresse. b) Une deuxième solution concevable consisterait à réfréner la spécialisation. Je la tiens également pour illusoire. C
6 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il faut réinventer l’Université (29 juin 1968)
10 alisme, au contraire du nationalisme cantonal, ne consiste pas à vouloir tout partout et à tout prix, mais à répartir les activi
7 1972, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il faut dénationaliser l’enseignement [Entretien] (8 décembre 1972)
11 iens toujours — c’est exactement le contraire. Ça consiste à laisser à chacun autant d’autonomie que possible, c’est-à-dire le d