1 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
1 d’un dessein logique, peut-être lointain, en quoi consiste l’unité la plus réelle de l’individu — en dehors du corps. Et ce ne s
2 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Avant-propos (décembre 1926)
2 c’est en cela uniquement — être nous-mêmes — que consistera notre programme. Sans doute, les différences s’accusent : mais n’est-
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Orphée sans charme (février 1927)
3 ’accuse de « vouloir faire admettre que la poésie consiste à écrire une phrase ». Et cette phrase, c’est un cheval savant qui la
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Conseils à la jeunesse (mai 1927)
4 e dire — aux surréalistes ?   Si le mal du siècle consistait véritablement dans ces quelques effets, nous donnerions peut-être rai
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
5 ée. La poésie pure écrite est inconcevable : cela consisterait dans l’expression directe de la réalité individuelle. Elle serait tel
6 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
6 pleine : l’occupation agréable et essentielle qui consiste à divise ; pour mieux l’engloutir — ainsi que le conseillait déjà Ren
7 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
7 opos d’une théologie dont le travail systématique consiste précisément à rejeter toutes les assurances humaines contre Dieu, tou