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tions de l’opéra et de la danse ; les personnages
constants
du théâtre ; les ouvertures, levers de rideau, préfaces, finales, épi
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aie : il détruit les figures convenues, les rites
constants
de l’illusion, dont le conteur connaissait les pouvoirs. Il ne lui re
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nt pris force contraignante. Ses personnages sont
constants
comme ceux de la Commedia dell’arte, ou ceux des cartes et des échecs