1 tage appréciation des causes. L’acte n’est jamais conséquence , il est toujours initiation. La vision de celui qui agit est tout ent

2 ’est pas de ceux dont nous ayons à développer les conséquences . Ou bien il est, et c’est l’acte de Dieu ; ou bien je l’imagine et mo

3  — quæ super nos, nihil ad nos, et il en tire les conséquences pratiques. Il se cantonne dans la « réalité rugueuse ». Il essaie de

4 e « rien ne s’achève sur soi seul », tout porte à conséquence , tout appelle, et d’abord la parole ! Mais l’usure des mots les édent