1 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
1 ns fin. L’Essylt des légendes sacrées, « objet de contemplation , spectacle mystérieux », c’était l’invitation à désirer ce qui est au
2 t celtique était aussi une magicienne, « objet de contemplation , spectacle mystérieux ».) Dans le Château de l’Âme habitent d’autres
2 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
3 res : l’absorption de toutes les facultés dans la contemplation de l’amour seul. Un trait profond de la passion — et de la mystique e
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
4 propre effet. Il n’est point un plaisir, mais une contemplation . » Aucun doute ne demeure possible : l’Amour est la passion mystique.
5 elui qui est pénétré d’amour puise la vie dans la contemplation de sa dame, car ainsi il soulage sa grande peine… Mais la dame n’a po
4 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
6 n comme prétexte à s’exalter, ou comme « objet de contemplation  », mais comme une existence incomparable et autonome à son côté, une
5 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
7 e nom signifiait « spectacle mystérieux, objet de contemplation  », fée irlandaise, cavale aux crins blancs, ou encore figuration de l