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ies de cet ouvrage, parce que chacune esquisse le
contenu
d’un volume de dimensions ordinaires. Le grand nombre des faits et de
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lef de ma composition. Le premier livre expose le
contenu
caché de la légende ou du mythe de Tristan. C’est une descente aux ce
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du mythe nous met donc en mesure d’accueillir son
contenu
déguisé et d’en jouir par l’imagination, sans en prendre toutefois un
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s » sociales sont des moyens de faire admettre un
contenu
antisocial, qui est la passion. Le mot « contenu » prend ici toute sa
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contenu antisocial, qui est la passion. Le mot «
contenu
» prend ici toute sa force : la passion de Tristan et d’Iseut est lit
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passion de Tristan et d’Iseut est littéralement «
contenue
» par les règles de la chevalerie. C’est à cette condition seulement
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leman — perdra ses dernières vertus, la passion «
contenue
» dans le mythe primitif se répandra dans la vie quotidienne, envahir
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omet très curieusement de nous indiquer. 4.Le
contenu
manifeste du Roman de Tristan6 Amors par force vos demeine ! (Bér
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des structures du Roman, nous avons pu saisir le
contenu
originel du mythe, dans sa pureté fruste et grande. Deux voies nous t
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individuelles des cinq auteurs. Dans l’analyse du
contenu
de la légende qu’on trouvera au chapitre 5, ces variantes seront négl
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: qu’à la longue, la chanson se soit vidée de son
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initial, n’ait plus été qu’un tissu de formules creuses on le peut ad
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ente de souligner le parallélisme des formes, des
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et des problèmes dans le monde de l’islam et dans le monde courtois,
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le dire : des « profanations » successives de son
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et de sa forme. Enfin, la guerre, en Occident, et toutes les formes m
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r la via mystica des « parfaits ». C’est alors le
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des états d’âme et leur objet, mais non leur forme, qui diffère89. (N
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sont pareilles, il importe de définir en quoi les
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restent incompatibles, et quelle est la nature de l’abus qui par la s
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it central de toute vie religieuse de forme et de
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chrétiens, c’est l’événement de l’Incarnation. Dès que l’on s’écarte
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tement l’envahissement de notre conscience par le
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totalement profané du mythe. Celui-ci cesse d’ailleurs d’être un vrai
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de poussées d’un tout autre ordre d’ailleurs — le
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du mythe inonda notre vie quotidienne. Nous ne savions plus ce que si
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et du domaine de la sexualité proprement dite, le
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du mythe et ses fantômes envahissent les domaines les plus divers : p
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ette rhétorique et la totale vulgarisation de son
contenu
, l’on peut en suivre les étapes dans un domaine en apparence fort étr
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politique, au sens strict du terme178. Longtemps
contenue
dans les formes classiques de la guerre, la violence, après le meurtr
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formes, et libérer d’une manière anarchique le «
contenu
» mortel du mythe. Cependant, je ne pense pas que le drainage de tout