1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
1 deur des engagements, le nombre de troupes, et la continuité de leur entretien, même lorsqu’elles sont le plus inutiles, et qu’on
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
2 ses formes de pensée, son sens de la durée, de la continuité , de l’unité… Dans ses Lettres philosophiques, il reprend l’idée que l
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
3 déjà dans d’autres cultures, mettrait fin à toute continuité humaine. … Que l’on compare seulement la situation actuelle avec cell
4 urs qu’on peut se demander si, sous une apparente continuité , la science européenne connaîtra ailleurs l’élan génial avec lequel e
5 son entrée à elle seule, s’opère sans solution de continuité . La science et la technique sont les enfants authentiques de son espr
6 sité, Arthur Koestler lie étroitement celui de la continuité dans le changement321 qui est sa traduction dans le temps, et il rejo
7 rejoint ainsi notre plus proche actualité : Une continuité aussi essentielle soutenant des changements aussi radicaux, voilà ce
8 représente peut-être le plus haut degré connu de continuité pendant 2.000 ans ou plus, mais il se produisit dans une civilisation
9 distincte, une sorte de personnalité historique. Continuité dans le changement, unité dans la diversité, semblent bien être (comm
10 plus spécifiquement, d’une culture européenne. La continuité sans changement caractérise quelques-unes des plus hautes civilisatio
11 le changement mais sans conscience profonde d’une continuité enracinée dans le passé, caractérise les nations de pionniers des con