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émarche. Bon gré, mal gré, tout ce que l’on écrit
contribue
en quelque façon au bien ou au mal de beaucoup. Lorsque l’intelligenc
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’aspect de la nature, la langue, le gouvernement,
contribuent
à ces diversités, et nul homme quelque supérieur qu’il soit, ne peut
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’Europe et la religion chrétienne y a puissamment
contribué
.50 Bien dira-t-on, mais la Réformation n’a-t-elle pas divisé, sans
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: « Chacun, sans renoncer à ses espérances, doit
contribuer
à mettre de l’ordre chez soi, — parce qu’à la France revient l’initia
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e. Ce puissant instrument de la force de l’État a
contribué
un peu partout à façonner les nations. Ces nations ont pris conscienc
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compte dans leur politique en tous domaines et de
contribuer
ainsi à une prise de conscience par les Européens de l’importance des