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iècle, bien trop heureux d’être débarrassé de son
contrôle
, la laisse poliment dépérir. Au mythe d’Icare, je ne vais pas opposer
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dant que les vrais pouvoirs, libérés eux aussi du
contrôle
et des mesures de l’esprit, se débattent dans l’opportunisme, ballott
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là tout un domaine que l’écrivain digne du nom ne
contrôle
pas, ne forme pas, n’atteint même pas. On a dit que cette « seconde z
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se des usagers de la langue cesse d’exercer aucun
contrôle
sur son parler, qu’elle ne rapporte plus à un modèle unique, et qu’el
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la balance, et qui se passerait aussi bien de ce
contrôle
. Non point qu’aucune force existe sans mesures, mais le choix qui imp
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e, d’instruments de travail, d’usages sociaux, de
contrôles
officiels (examens, diplômes et titres) qu’on ne saurait définir aisé
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éduisant à force de commodité, c’est lui qui nous
contrôle
, c’est lui qui, sans douleur, marque tant de « travaux » de son poinç
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i soumet l’homme à ses outils, et la pensée à ses
contrôles
, rien de plus frappant aujourd’hui que le destin de notre économie. C