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irage au pétrole, 30 francs. Bons de la « Société
coopérative
de panification », 40 francs. Réparation de la pompe du puits, 25 fra
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eur « dernier voyage ». L’autre, c’est la Société
coopérative
de panification, réunissant dans une sorte de corporation boulanger,
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ur leur dernier voyage. L’autre, c’est la Société
coopérative
de panification, réunissant dans une sorte de corporation boulangers,
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ers doivent comprendre que syndicat, corporation,
coopérative
sont synonymes, et signifient tous : solidarité locale, puis fédérati
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entreprises. Je conjure les paysans de s’unir en
coopératives
agricoles de production, sur le modèle des communautés de la Suisse p
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disposition des libres entreprises, syndicats ou
coopératives
, qui justifieraient leur utilité pour le bien commun. 3) Perfectionne
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irage au pétrole, 30 francs. Bons de la « Société
coopérative
de panification », 40 francs. Réparation de la pompe du puits, 25 fra
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eur « dernier voyage ». L’autre, c’est la Société
coopérative
de panification, réunissant dans une sorte de corporation boulanger,
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a construction métallique, le syndicalisme et les
coopératives
, et enfin l’art moderne tout entier : peinture, musique, littérature,
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étallique, l’école active, le syndicalisme et les
coopératives
, et enfin l’art moderne tout entier : peinture, musique, littérature,
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étallique, l’école active, le syndicalisme et les
coopératives
, et enfin l’art moderne tout entier : peinture, musique, littérature,
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dstätten qui étaient en somme des corporations ou
coopératives
forestières. Le Pacte avait pour but de maintenir les libertés impéri
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a construction métallique, le syndicalisme et les
coopératives
, et enfin l’art moderne tout entier : peinture, musique, littérature,
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es grandes associations syndicales et patronales,
coopératives
et agricoles, familiales et professionnelles de tous nos pays. Ces Ét
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stätten, qui étaient en somme des corporations ou
coopératives
forestières. Le pacte avait pour but de maintenir les libertés impéri
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r, de travailler, de faire la grève, de créer des
coopératives
, des syndicats, des sociétés d’entraide ; de changer d’habitation, de
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r, de travailler, de faire la grève, de créer des
coopératives
, des syndicats, des sociétés d’entraide ; de changer d’habitation, de
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. Ces communautés, organisées depuis longtemps en
coopératives
(Markgenossenschaften) devinrent alors de petits États libres, posséd
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que du Gothard, le fait social de l’existence des
coopératives
forestières, le fait économique des échanges nécessaires entre le Nor
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ntée, peu productive, et qui appelle une économie
coopérative
. D’autre part, ces mêmes conditions topographiques jouent dans le sen
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La majorité des syndicalistes et des membres des
coopératives
se rattachent au parti socialiste. Enfin, le parti du travail (commun
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rporations forestières ; traduit-on « à droite »,
coopératives
dit-on « à gauche ») puis avec les corps de métier. Au xive siècle,
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ans peuvent aussi s’appuyer sur l’action de leurs
coopératives
locales, qui étaient au nombre de 17 584 en 1940. Et l’on peut ajoute
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comprend le revenu des entreprises publiques, des
coopératives
et des sociétés d’assurances mutuelles, qui ne sont pas précisément «
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sociale. On pourrait en somme les comparer à des
coopératives
d’assurances. Elles ont institué des caisses de secours en cas de mal
26
s et professionnels de leurs adhérents. Comme les
coopératives
, elles tendent à corriger les excès éventuels qu’entraîne la liberté
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erniers à revendiquer la « manne de l’État ». Les
coopératives
agricoles méritent une mention particulière : elles font revivre de n
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opriété rurale ne peut se maintenir que grâce aux
coopératives
. Celles-ci mettent à la disposition de leurs membres des machines don
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aussi l’esprit des communes, les syndicats et les
coopératives
. Tout la désigne donc pour fomenter les anticorps immunisant l’humani
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t des belles rêveries de Fourier aux systèmes des
coopératives
. D’où l’ensemble des lois tendant à protéger les ouvriers contre les
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petits peuples des Waldstätten, déjà organisés en
coopératives
forestières, l’immédiateté impériale ; et cela dès 1231, c’est-à-dire
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re et maintenir avec plus d’efficace », les trois
coopératives
forestières prirent l’engagement de « s’assister mutuellement de tout
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ment et du régime bicaméral, des syndicats et des
coopératives
; ainsi de l’éducation elle-même et, finalement, de l’idée du progrès
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ent et du régime bi-caméral, des syndicats et des
coopératives
; ainsi de l’éducation elle-même, nous l’avons vu ; et finalement, de
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vail humain, bien concerté : la Suisse est née de
coopératives
forestières exploitant le passage du Gothard, « Un pour tous, tous po
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abilités. Groupées en syndicats de production, en
coopératives
techniques ou de distribution et de consommation, les communes redevi
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s Waldstätten. Waldstätten signifie à peu près :
coopératives
ou communes forestières, associations des gens d’une vallée possédant
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pelle aussi Markgenossenschaften, littéralement :
coopératives
régionales, autrement dit marchés communs. 8. Brachycéphales celto-l
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ecque mais re-tribalisée par l’Allmend, propriété
coopérative
. Et la structure sociale n’a rien d’égalitaire. S’il est vrai que les
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les propriétaires et paysans libres, associés en
coopérative
, firent une commune : ainsi le Pacte de 1291 est-il conclu entre « le
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e plus clair : ils sont l’émanation politique des
coopératives
de la Migros. Mais les liens entre les députés socialistes et l’Union
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s et professionnels de leurs adhérents. Comme les
coopératives
, elles tendent à corriger les excès éventuels qu’entraîne la liberté
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erniers à revendiquer la « manne de l’État ». Les
coopératives
agricoles méritent une mention particulière : elles font revivre de n
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opriété rurale ne peut se maintenir que grâce aux
coopératives
. Celles-ci mettent à la disposition de leurs membres des machines don
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pour les recherches économiques et sociales, des
coopératives
en Turquie, une raffinerie en Allemagne, des cours du soir profession
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Arts et Métiers a été citée un peu plus haut. Les
Coopératives
de consommation : Union suisse des coopératives et Fédération des coo
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s Coopératives de consommation : Union suisse des
coopératives
et Fédération des coopérateurs Migros sont organisées sur un plan nat
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onclue entre les chefs de trois « communes » ou «
coopératives
forestières » (les Waldstätten) en vue de garantir leurs privilèges.
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que Le Monde en France et l’organe officiel des
coopératives
en Suisse déclarer, au terme d’exposés objectifs des faits, qu’ils ne
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pays : syndicats ouvriers, agricoles, patronaux ;
coopératives
; magistratures et parlements ; mouvements de jeunesse ; Églises… On
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synthétique et le radar ; le syndicalisme et les
coopératives
; la construction métallique et la bureaucratie ; et enfin l’art mode
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ion du travail industriel, le syndicalisme et les
coopératives
; la construction métallique et la bureaucratie ; et enfin l’art mode
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achat des salariés, notamment par l’extension des
coopératives
d’entreprises ; l’accroissement des dépenses préventives de pollution
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en commun) : c’est Oneida Community ; la société
coopérative
, Oneida Community Ltd, 1881 (et les couples se reforment) ; enfin One
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rer de cette sorte-là d’aventure, je citerai la «
Coopérative
européenne » de Longo Maï et la communauté œcuménique de Taizé. L
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est l’école qui forme les pionniers de nouvelles
coopératives
, les artisans et les agriculteurs dont va manquer l’Europe urbanisée.
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implantation régionale et de visée européenne, la
Coopérative
de Longo Maï préfigure cette « Europe verte » dont on pouvait redoute
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pratiques. En dépit de leurs fins différentes, la
Coopérative
européenne et la communauté œcuménique présentent des caractères curi
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ion se définit comme un ensemble de syndicats (ou
coopératives
) de communes, chacun répondant à une fonction déterminée : écoles, en
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rmée sur la base de communes forestièresbr, d’une
coopérative
, si vous voulez, et elle s’est peu à peu agrandie sous la forme d’une
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ne petite échelle, dans les autonomies locales. «
Coopératives
d’habitation, énergie solaire, petites entreprises, compost, alimenta
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ne petite échelle, dans les autonomies locales. «
Coopératives
d’habitation, énergie solaire, petites entreprises, compost, alimenta
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ne petite échelle, dans les autonomies locales. «
Coopératives
d’habitation, énergie solaire, petites entreprises, compost, alimenta
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ant des plus petites unités : communes, ateliers,
coopératives
. C’est ce que le diplomate américain D. Moynihan formulait naguère à
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siècle entre trois « communes forestières » (ou
coopératives
), chacune voulant rester libre de s’autogérer malgré les menaces exté
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p cher pour une commune, et il demande la mise en
coopérative
de plusieurs communes. Une des choses principales qui manquent aujour
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par la loi ». Le droit d’association (syndicats,
coopératives
, sports, culture, etc.) est également assuré aux citoyens, « alors qu
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ganisations du Parti communiste, aux syndicats et
coopératives
, aux organisations de la jeunesse, aux sociétés culturelles ». Ce qui