1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
1 u, certains d’entre eux sont morts ou vont mourir couchés sur une fortune de 100 000 ou de 200 000 francs, que leurs fils iront
2 arrange, ça délasse, et avec ça on peut aller se coucher  ! Ils mangent et on va se coucher. C’est le lendemain matin que j’ai
3 n peut aller se coucher ! Ils mangent et on va se coucher . C’est le lendemain matin que j’ai vu qu’ils avaient pris la chèvre.
4 eut guère que se tremper quelques secondes, et se coucher ensuite sur la dune, au vent doux. Villages blancs au-delà des lagune
5 eurt qui nous émeut. Cette nuit, avant d’aller me coucher , j’ai été voir encore au poulailler. (Nous attendions depuis deux jou
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
6 s verticaux. Le rationaliste idéal, c’est l’homme couché  ; tout au plus, l’homme assis. Celui qui se fait servir. Mais quoi, j
7 octurnes. Ma police personnelle m’envoie aussi me coucher . Elle m’y contraint un peu… Quelle résistance absurde opposerais-je,
8 re voisin, c’est qu’à deux reprises déjà, s’étant couché fort tard, il a vu ma lampe allumée. Si cela continue, il me prendra
9 e et presque « atterrant ». La petite chienne est couchée , sur le flanc, haletant doucement, l’arrière-train tuméfié. Autour d’
10 ignées de terre sur tous ces ventres. Ils vont se coucher un peu plus loin. Un ou deux se défilent en silence. « J’ai pris la n