1 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
1 quoi que ce soit, hors l’envie de boire et de se coucher . Eh bien ! de tout cela se dégage un lyrisme. De cela précisément qui
2 toute la nature, sans préjugés ni fausse pudeur. Couché dans l’herbe grasse, écrasé par son sac, l’homme observe l’avant-terr
2 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
3 n, si tout va bien, nous atteindrons Lisbonne. Où coucherons -nous ? Le Portugal a vu passer déjà des centaines de milliers de réfu
3 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
4 que New York est une île en forme de gratte-ciel couché . C’est la ville la plus simple du monde. Douze avenues parallèles, da
5 ouvre l’espace, double le ciel, qui règne seul au coucher du soleil. À New York, la lumière du soir évacue rapidement les rues
4 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
6 une part inavouable de libération. Avouons-la, et couchons -nous. 21 juillet 1941, en mer Nuit des tropiques. Tout à l’avan
7 s dans les plumets déchiquetés par le vent tiède. Couché sur l’herbe je sens vivre une terre étrange, plus jeune et plus ancie
5 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
8 ne pas « dépasser ». Je pose pour le Petit Prince couché sur le ventre et relevant les jambes. Tonio rit comme un gosse : « Vo