1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
1 er un chat qui rôde autour de la faisanderie. Les couchers de soleil à cette saison se prolongent jusque vers onze heures, en de
2 urvues d’articulations, en sorte qu’il ne peut se coucher et doit dormir appuyé aux arbres. Pour le capturer, les indigènes sci
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
3 au du prophète Gül Baba. Puis, comme le soleil se couchait , nous avons repassé un grand pont vibrant et nous sommes rentrés en E
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
4 es monumentales. Dans une chambre froide il s’est couché en grelottant. Mais à travers l’ombre il distingue les masses confort
5 dans la campagne. La petite ville au crépuscule, couchée en rond entre les collines, secrète sous un voile de brume bleue, dan
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
6 u, certains d’entre eux sont morts ou vont mourir couchés sur une fortune de 100 000 ou de 200 000 francs, que leurs fils iront
7 arrange, ça délasse, et avec ça on peut aller se coucher  ! Ils mangent et on va se coucher. C’est le lendemain matin que j’ai
8 n peut aller se coucher ! Ils mangent et on va se coucher . C’est le lendemain matin que j’ai vu qu’ils avaient pris la chèvre.
9 eut guère que se tremper quelques secondes, et se coucher ensuite sur la dune, au vent doux. Villages blancs au-delà des lagune
10 eurt qui nous émeut. Cette nuit, avant d’aller me coucher , j’ai été voir encore au poulailler. (Nous attendions depuis deux jou
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
11 s verticaux. Le rationaliste idéal, c’est l’homme couché  ; tout au plus, l’homme assis. Celui qui se fait servir. Mais quoi, j
12 octurnes. Ma police personnelle m’envoie aussi me coucher . Elle m’y contraint un peu… Quelle résistance absurde opposerais-je,
13 re voisin, c’est qu’à deux reprises déjà, s’étant couché fort tard, il a vu ma lampe allumée. Si cela continue, il me prendra
14 e et presque « atterrant ». La petite chienne est couchée , sur le flanc, haletant doucement, l’arrière-train tuméfié. Autour d’
15 ignées de terre sur tous ces ventres. Ils vont se coucher un peu plus loin. Un ou deux se défilent en silence. « J’ai pris la n
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Intermède
16 Porte d’Italie vers cinq heures du matin et je me couchais tremblant de fièvre. Quelques jours plus tard, à peu près guéri d’une
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
17 quoi que ce soit, hors l’envie de boire et de se coucher . Eh bien ! de tout cela se dégage un lyrisme. De cela précisément qui
18 toute la nature, sans préjugés ni fausse pudeur. Couché dans l’herbe grasse, écrasé par son sac, l’homme observe l’avant-terr
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
19 n, si tout va bien, nous atteindrons Lisbonne. Où coucherons -nous ? Le Portugal a vu passer déjà des centaines de milliers de réfu
9 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
20 que New York est une île en forme de gratte-ciel couché . C’est la ville la plus simple du monde. Douze avenues parallèles, da
21 ouvre l’espace, double le ciel, qui règne seul au coucher du soleil. À New York, la lumière du soir évacue rapidement les rues
10 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
22 une part inavouable de libération. Avouons-la, et couchons -nous. 21 juillet 1941, en mer Nuit des tropiques. Tout à l’avan
23 s dans les plumets déchiquetés par le vent tiède. Couché sur l’herbe, je sens vivre une terre étrange, plus jeune et plus anci
11 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
24 ne pas « dépasser ». Je pose pour le Petit Prince couché sur le ventre et relevant les jambes. Tonio rit comme un gosse : « Vo
12 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
25 ue nous pouvons imaginer de lui… Avant d’aller me coucher , je lui donne Le Nouvel Esprit scientifique de Bachelard. J’ai soulig