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andeur désolée qu’un Greco. Mais il n’y a pas les
couleurs
, ni l’amère volupté des formes. Une sensation de barre d’acier sur la
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Jouve, Paulina 1880 (avril 1926)p Au creux des
couleurs
assourdies d’un divan le soir, tandis que les fenêtres s’ouvraient ve
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p claire où les cris se font un peu aigres et les
couleurs
fluides. Toute la tendresse que ranime un soleil lointain va tourner
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s » ; et le mot sang n’évoque ici qu’une tache de
couleur
, plus sentimental que cruel. « J’ai la beauté facile et c’est heureux
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ntraîne tout un branle-bas d’évocations hautes en
couleur
, de rêves, de visages, tandis que ç[à] et là s’ouvrent des perspectiv
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radiateur — les voici, pères et fils, revêtus des
couleurs
familiales. Ils se tiennent très droits, appuyés sur leurs sabres d’o
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nt bon, avec des livres sur des divans aux riches
couleurs
, des boissons préparées, l’ombre bourdonnante, — trois petites chambr
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aussi lointain qu’on l’imagine, tout a de belles
couleurs
, le poète sourit en lui-même, il y a une enfance dans l’air… 12. R
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certain son spirituel… Un objet de musique et de
couleurs
, mais aussi une forme symbolique de tout… Enfin, tellement inconnu et