1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Préambule
1 aguement américain et militaire, sous un ciel bas couleur d’acier où rien ne bougeait, et voilà tout d’un coup cet orage de nov
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
2 tons clairs et simples, blanc, jaune ou vert. La couleur des volets s’harmonise avec chaque façade d’une manière subtile et pr
3 Une nuit de vent bouleverse leur dessin et leurs couleurs , apporte un banc de varech pourpré ou dénude des roches noires, la ve
4 oto de bateau, et un vieil arbre généalogique aux couleurs pâlies. Cet ordre gai, cette propreté rigoureuse qui règnent ici avec
5 légendaire et généreux, prenait le rythme et les couleurs grandioses et irréelles de la page d’histoire. Mensonge de la distanc
3 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
6 ère rapide qui débouche d’une gorge étroite, cité couleur de rocher, de rivière et de vieilles tuiles romaines, A… qui de loin
7 ignorent obstinément, peut-être même haïssent la couleur verte, le soleil, la nature, la propreté. Ils aiment le noir. Avec fa
8 llon par un cyprès grandiloquent. Et cette maison couleur de terre et festonnée de tuiles roses, elle est bien à la ressemblanc
9 plaine bleu rosé piqué de cyprès, c’est la seule couleur vive du paysage desséché. Ciel gris mouvant, une barre jaune à l’hori
4 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
10 un nez pâle. Cheveux roux. Une bouche proéminente couleur de planche d’anatomie. Le torse véritablement énorme bombe une chemis