1 1947, Doctrine fabuleuse. Premier dialogue sur la carte postale. La pluie et le beau temps
1 sent toujours le même paysage de carte postale en couleurs , idéal inévitable de ceux qui n’ont pas de point de vue sur le beau t
2 mour se réfèrent en vérité à une carte postale en couleurs . Et non pas à la réalité. Vous n’aimez pas penser à la souffrance. (U
2 1947, Doctrine fabuleuse. Deuxième dialogue sur la carte postale. La beauté physique
3 al comme du bien moral. Ça ne correspond à aucune couleur connue. Je m’occupe de rapports de tons et de masses, je n’en sors pa
4 us m’écoutez, il n’y aura plus de malentendu. Vos couleurs existent dans leurs rapports sur une toile : c’est là leur morale et
5 les n’en sont pas moins des cartes postales, « en couleur  ». Et vous jugez à partir de Renoir à peu près de la même façon que v
3 1947, Doctrine fabuleuse. Troisième dialogue sur la carte postale. L’homme sans ressemblance
6 nsieur, sans aucun doute la série de portraits en couleurs que publient nos grands magazines : The Man of Distinction, l’homme d
7 es hommes de la vulgarité, des cartes postales en couleurs montrant les modèles mêmes du commun. Vous voyez le risque que je cou
8 ns votre publicité que la photo pleine page et en couleurs que nous prendrons une autre fois. (Il va pour sortir.) Attendez un i
4 1947, Doctrine fabuleuse. Quatrième dialogue sur la carte postale. Ars prophetica, ou. D’un langage qui ne veut pas être clair
9 z pas la sensation du blanc en décrivant les sept couleurs . C’est pourquoi le langage de la vision ou de la foi, s’il était pur,