1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Préface
1 aux espacés sur une vingtaine d’années modifie la couleur , la résonance et le sens même de chacun d’eux, et fait de l’ensemble
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
2 radiateur — les voici, pères et fils, revêtus des couleurs familiales. Ils se tiennent très droits, appuyés sur leurs sabres d’o
3 nt bon, avec des livres sur des divans aux riches couleurs , des boissons préparées, l’ombre bourdonnante, — trois petites chambr
4 aussi lointain qu’on l’imagine, tout a de belles couleurs , le poète sourit en lui-même, il y a une enfance dans l’air… Le re
5 certain son spirituel… Un objet de musique et de couleurs , mais aussi une forme symbolique de tout… Enfin, tellement inconnu et
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
6 oses, verts, des maisons à façades triangulaires. Couleurs d’un crépuscule de pluie. Plus près, des reflets d’arbres ; plus près
7 l’espèce dite « schnauzer », il montre un poil de couleur neutre, et quelque bienveillance lorsqu’il a compris. Est-ce tout ? I
8 un petit théâtre. La rampe a des feux stellaires, couleur d’Aldébaran. On joue Rose de Tannenbourg, drame en 15 tableaux, un pr
9 ate.) Telle a donc été ma « vision » : formats et couleurs très nettement perçus, mais rien de plus, donc rien d’utilisable éven
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
10 minables au-dessus d’une enceinte de briques. Les couleurs du monde sont éteintes, courant coupé, musique interrompue. Je ne voi
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Préambule
11 aguement américain et militaire, sous un ciel bas couleur d’acier où rien ne bougeait, et voilà tout d’un coup cet orage de nov
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
12 tons clairs et simples, blanc, jaune ou vert. La couleur des volets s’harmonise avec chaque façade d’une manière subtile et pr
13 Une nuit de vent bouleverse leur dessin et leurs couleurs , apporte un banc de varech pourpré ou dénude des roches noires, la ve
14 oto de bateau, et un vieil arbre généalogique aux couleurs pâlies. Cet ordre gai, cette propreté rigoureuse qui règnent ici avec
15 légendaire et généreux, prenait le rythme et les couleurs grandioses et irréelles de la page d’histoire. Mensonge de la distanc
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
16 ère rapide qui débouche d’une gorge étroite, cité couleur de rocher, de rivière et de vieilles tuiles romaines, A… qui de loin
17 ignorent obstinément, peut-être même haïssent la couleur verte, le soleil, la nature, la propreté. Ils aiment le noir. Avec fa
18 llon par un cyprès grandiloquent. Et cette maison couleur de terre et festonnée de tuiles roses, elle est bien à la ressemblanc
19 plaine bleu rosé piqué de cyprès, c’est la seule couleur vive du paysage desséché. Ciel gris mouvant, une barre jaune à l’hori
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
20 un nez pâle. Cheveux roux. Une bouche proéminente couleur de planche d’anatomie. Le torse véritablement énorme bombe une chemis
9 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
21 tableau. Il ne s’agit pas de mélanger toutes les couleurs pour aboutir à l’harmonie. Il faut au contraire poser à côté d’un rou
10 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
22 es concrètes, ces nœuds d’histoire, expliquent la couleur politique autant que religieuse, sociale ou culturelle de la notion q
11 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
23 les métamorphoses de sa vie : toujours vêtue aux couleurs de sa fièvre et de sa nouvelle aventure. Pourquoi les hommes les plus
24 r même l’existence, soit qu’ils rêvassent dans la couleur ou cernent brutalement des figures sans mystère. Manuel est un nerveu
12 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
25 nt flambait les hauteurs des gratte-ciel de cette couleur orangée aérienne qu’on voit aux crêtes des parois rocheuses alors que
13 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Intermède douanier
26 s’éloignent, tenant mes pages de toutes formes et couleurs entre deux doigts, feignant de les lire — probablement à l’envers, co
14 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
27 ur lequel se jeter, il en fait voir de toutes les couleurs aux rudiments d’idées qui le traversent. Il s’empare de leurs mots si
15 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
28 au moyen de taxis aériens. Déjà la télévision en couleurs prouve qu’elle ne le cède en rien à la photographie pour « le brillan
16 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
29 essus des toits bleus, des toits roux et des murs couleur du temps, où quelques taches de rose clair ou de noir achèvent de com