1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
1 e chasser parce qu’elle n’a pas mérité du premier coup qu’on se donne la peine de l’écraser, — c’est qu’il symbolise tout ce
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
2 la duchesse, lui baisa la main et l’abattit d’un coup de revolver. Puis s’en fut avec un tact exquis, qui fut très remarqué
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
3 autre jour au Grand Écart… », dit quelqu’un. À ce coup , l’évocation de Cocteau fait fleurir sur vos lèvres le mot de Cambron
4 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
4 à quelque terrasse de café pour y boire à petits coups une amertume acide et tiède comme l’adolescence, un désespoir de nuit
5 . Le carton des armures sonne sourdement sous les coups d’un Kühnrich à la basse rugissante, plus traître que nature avec sa
6 ue ou vestibule, plein de bruits de lavabos et de coups de cloche débile au corridor, — à Paris. Bientôt… Mais il est temps