1 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
1 ’est plus possible ici-bas, dans la prison du moi coupable et douloureux. Il faudra donc chercher au-delà. Et nous avons vu que
2 qui leur rende alors la force d’accepter leur moi coupable et le monde réel. La « contemplation sans objet » à laquelle ils parv
3 e s’exprimer sans réticences et d’assumer son moi coupable — parce que dorénavant ce n’est pas cela qui compte, mais l’œuvre à f
4 uvre à faire et Celui qui l’ordonne. Alors le moi coupable et détesté ne cherche plus de vaine échappatoire dans l’indicible et
5 cence exaltante, une occasion de sacrifier le moi coupable et détesté à quelque chose de plus vrai que la vie, et qui est sa mis