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a la Loi, le Dieu des Juifs « qui ne tient pas le
coupable
pour innocent. » Pourquoi demeure-t-il inaccessible ? Parce qu’il rés
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’est plus possible ici-bas, dans la prison du moi
coupable
et douloureux. Il faudra donc chercher au-delà. Et nous avons vu que
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qui leur rende alors la force d’accepter leur moi
coupable
et le monde réel. La « contemplation sans objet » à laquelle ils parv
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s’exprimer sans réticences, et d’assumer son moi
coupable
— parce que dorénavant ce n’est pas cela qui compte, mais l’œuvre à f
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uvre à faire et Celui qui l’ordonne. Alors le moi
coupable
et détesté ne cherche plus de vaine échappatoire dans l’indicible et
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cence exaltante, une occasion de sacrifier le moi
coupable
et détesté à quelque chose de plus vrai que la vie, et qui était sa m