1 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Franz Kafka, ou l’aveu de la réalité
1 a la Loi, le Dieu des Juifs « qui ne tient pas le coupable pour innocent. » Pourquoi demeure-t-il inaccessible ? Parce qu’il rés
2 1944, Les Personnes du drame. Une maladie de la personne — Le romantisme allemand
2 ’est plus possible ici-bas, dans la prison du moi coupable et douloureux. Il faudra donc chercher au-delà. Et nous avons vu que
3 qui leur rende alors la force d’accepter leur moi coupable et le monde réel. La « contemplation sans objet » à laquelle ils parv
4 s’exprimer sans réticences, et d’assumer son moi coupable — parce que dorénavant ce n’est pas cela qui compte, mais l’œuvre à f
5 uvre à faire et Celui qui l’ordonne. Alors le moi coupable et détesté ne cherche plus de vaine échappatoire dans l’indicible et
6 cence exaltante, une occasion de sacrifier le moi coupable et détesté à quelque chose de plus vrai que la vie, et qui était sa m