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sicisme nouveau. M. Meili a mis en évidence cette
courbe
de la peinture moderne avec une netteté et un relief remarquable. Les
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formes et des harmonies troubles de parfums et de
courbes
compliquées. Nous secouons un sortilège pénétrant comme cette brume,
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gage des dieux, ô joies pour notre joie mesurées,
courbes
qu’épousent nos ferveurs, angles purs, repos de l’esprit qui s’appuie
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que Matisse ; mais il y avait encore du flou, des
courbes
complaisantes. Meili est devenu plus net, plus cruel aussi. À Marin,