1 oque où elle s’est fédérée ; et les disparités de coutumes ou de richesse, de langue, de confession, voire de régimes, ne sont g

2 qui sont encore mêlées à notre vie, des vieilles coutumes germaniques. Justement la survivance de ce paysan, homme libre dont l

3 ire du terme. Mais la transmission des mœurs, des coutumes , de la morale, c’est par les femmes que cela se fait en Europe. C’est

4 possible, ouvert à tous, et non déterminé par les coutumes , choisir une profession devient un long tourment, et fort peu de jeun

5 is paraître une motivation aussi différente de la coutume que du profit : celle du sens de ma vie, du sens de la société, et du

6 art à la colonisation de notre économie et de nos coutumes sociales par les Américains. Mais l’Europe ne pourra jamais se faire

7 — avec leur chargement continental de mœurs et de coutumes , d’œuvres de tous les ordres, de systèmes religieux, cosmiques et mon

8 civiques ou juridiques, il y a la féodalité, les coutumes germaniques et celtiques, le droit romain, Dracon, Solon, qui ont inv

9 utres et sans religions 0,9 10,4 Cependant, les coutumes civiques et le climat des débats politiques n’ont guère changé pour l

10 art à la colonisation de notre économie et de nos coutumes sociales par certains groupes industriels des États-Unis. De plus, un

11 igurante. L’histoire du mythe, dans nos mœurs et coutumes , ne serait-elle que l’histoire d’une longue profanation ? Faut-il pen