1 et le mal, tels que l’homme les conçoit, sont des coutumes relatives au temps, aux civilisations, et souvent même aux conditions

2 e espèce d’inertie ou de force de l’habitude. Une coutume du mal nous habite, que l’on pourrait nommer le péché habituel, ou pr

3 les retourner et de les lire à rebours, selon la coutume des messes noires. C’est d’invertir et de ruiner par l’intérieur les

4 ux. Car non content de combattre et d’évacuer les coutumes religieuses périmées (c’était son droit et son devoir), il s’est méth

5 s’est méthodiquement refusé à laisser naître des coutumes nouvelles (en ceci protestant, mais sans la foi). Or les coutumes rel

6 es (en ceci protestant, mais sans la foi). Or les coutumes religieuses quelles qu’elles soient, sacrifices, fêtes, orgies ou jeû

7 plus célèbres études sociologiques du siècle, ont coutume de personnifier les forces mauvaises qui les menacent, les causes des

8 st d’avoir privé de sens presque tous nos usages, coutumes et costumes, arts, travaux et loisirs. Au point qu’on étonne un moder

9 n’importe quel régime. C’est ainsi que jadis les coutumes de la Cour réglaient la politesse à tous les degrés de la société. El

10 d’observer partout les distances convenables. La coutume de nos parlements, de nos partis et de leurs chefs, paraît aujourd’hu

11 bavarde, comme on en trouve dans les cafés, avait coutume de me faire la théorie suivante : tout le mal vient des étages, inven

12 naires politiques. Les tribunaux français avaient coutume d’acquitter les crimes passionnels. Aux grandes époques, on eût doubl

13 l’appui sans restriction d’une morale dure, d’une coutume intransigeante, ou d’une foi plus forte que la vie. Il faudrait un cr

14 ué aux taciturnes par l’éducation du danger et la coutume de la mort, plus absurde et plus simple que jamais. J’élève ces vertu