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est devenu si puissant parmi les Suisses qu’on a
coutume
de s’adresser à lui avant de négocier un traité. Cependant, ses mises
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sont plus esclaves que de leurs lois et de leurs
coutumes
, de leurs commérages et de leurs préjugés bourgeois. S’il est probab
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ut exercer cet office deux années de suite, et la
coutume
s’est établie d’une rotation entre les sept conseillers : chacun devi
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d’un membre du Conseil dans le même canton, et la
coutume
veut que les cantons de Zurich, Berne et Vaud, les plus peuplés, aien
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ulière des débats aux Chambres fédérales. Ils ont
coutume
de comparer ce Parlement à un conseil d’administration. L’éloquence,
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u que nous venons d’esquisser des institutions et
coutumes
politiques de la Suisse illustre ces déclarations. Encore faut-il bie
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réfractaires à toute unification qui léserait les
coutumes
cantonales ou avantagerait la majorité linguistique. Les fédérations
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ianisme renaîtra de ses vestiges. Par-dessous les
coutumes
alémaniques-païennes, les apôtres irlandais retrouvent non seulement
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« aventures étrangères ». Elle se traduit par une
coutume
bizarre, qui veut que les ministres suisses, c’est-à-dire les conseil