1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
1 le saint homme qui se « détache » du clan, de la coutume , de la magie, du dogme même, devenant hétérodoxe moins par la négatio
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
2 ou pour vaincre, on s’empresse d’en appeler à la coutume , et l’on prétend « renouveler la tradition ». Il suffit qu’une charte
3 eler la tradition ». Il suffit qu’une charte, une coutume , un usage ait 25 ou 30 ans, au Moyen Âge, pour qu’on l’invoque sous l
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience de l’espace
4 ous y conduire en hôtes de passage respectueux de coutumes différentes des nôtres : cette passion colonisatrice a pu soutenir la
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’exploration de la matière
5 mble nuire au groupe, à la tribu, à leurs lois et coutumes sacrées, que l’on prend pour l’Ordre et le Bien. L’eppur de Galilée m
6 t semble perdu, ou comme certaines de nos propres coutumes , à notre insu, remontent aux temps de l’animisme. En revanche, les sp
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
7 encore aujourd’hui matière à protester contre la coutume des sudistes, par ailleurs dénoncée en Europe et en Asie — avec une v
8 , elles n’étaient plus mises en échec par trop de coutumes anciennes ou de limitations posées par des excès contraires. Si l’Eur