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et le mal, tels que l’homme les conçoit, sont des
coutumes
relatives au temps, aux civilisations, et souvent même aux conditions
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e espèce d’inertie ou de force de l’habitude. Une
coutume
du mal nous habite, que l’on pourrait nommer le péché habituel, ou pr
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les retourner et de les lire à rebours, selon la
coutume
des messes noires. C’est d’invertir et de ruiner par l’intérieur les
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ux. Car non content de combattre et d’évacuer les
coutumes
religieuses périmées (c’était son droit et son devoir) il s’est métho
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s’est méthodiquement refusé à laisser naître des
coutumes
nouvelles (en ceci protestant, mais sans la foi). Or les coutumes rel
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es (en ceci protestant, mais sans la foi). Or les
coutumes
religieuses quelles qu’elles soient, sacrifices, fêtes, orgies ou jeû
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plus célèbres études sociologiques du siècle, ont
coutume
de personnifier les forces mauvaises qui les menacent, les causes des
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st d’avoir privé de sens presque tous nos usages,
coutumes
et costumes, arts, travaux et loisirs. Au point qu’on étonne un moder
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n’importe quel régime. C’est ainsi que jadis les
coutumes
de la Cour réglaient la politesse à tous les degrés de la société. El
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d’observer partout les distances convenables. La
coutume
de nos parlements, de nos partis et de leurs chefs, paraît aujourd’hu
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bavarde, comme on en trouve dans les cafés, avait
coutume
de me faire la théorie suivante : tout le mal vient des étages, inven
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aires politiques. Les tribunaux, naguère, avaient
coutume
d’acquitter les crimes passionnels. Aux grandes époques on eût doublé
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l’appui sans restriction d’une morale dure, d’une
coutume
intransigeante, ou d’une foi plus forte que la vie. Il faudrait un cr
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ué aux taciturnes par l’éducation du danger et la
coutume
de la mort, plus absurde et plus simple que jamais. J’élève ces vertu
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i vient me tenter d’accepter du tout-fait — us et
coutumes
, décrets et modes, dogmes et rites —, comment me garder pur de toute