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Romains adoraient leur empereur, les chrétiens ne
craignaient
pas de passer pour athées : ils refusaient le culte de l’idole et s’e
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vouèrent les hommes du xve siècle. Mais on peut
craindre
aussi que l’essentiel de la personne nous échappe, si nous nous limit
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nfession des péchés, certains pasteurs paraissent
craindre
la monotonie de ce vieux texte, et croient bien faire en y apportant
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hez nous, « fédéralistes » ne sont souvent, je le
crains
, que des nationalistes cantonaux. Ceux qui insistent sur la nécessité
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l’égoïsme. On refuse de la discuter, parce qu’on
craint
que cette discussion n’aboutisse à des conclusions gênantes et n’obli
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ent plutôt leurs divisions ! Nous en avons, je le
crains
, plus qu’eux tous réunis. Il n’y a qu’un seul coin de l’Europe qui so