1 volutionnaires.) Et ce n’est pas qu’il ait jamais craint de tirer sur ces racines, fortement : mais il a vu qu’elles tenaient

2 énergie quand on les traite de matérialistes. Je crains que ce soit, chez la plupart d’entre eux, un réflexe de bourgeois plu

3 uite ait fait voir l’énormité de cette erreur. Je crains bien que ce n’ait été qu’au profit d’une erreur plus subtile. 2. Parc

4 hension si totale du réel que notre langue, je le crains , n’arrivera pas à la restituer sans bizarreries. Ceci suffit sans dou

5 colère y jaillit sans rencontrer personne. J’ai à craindre qu’elle ne m’attaque par désir famélique de créer du nouveau. Car c’e

6 d’une vision précise de cet état qu’ils rêvent et craignent . J’ai pensé plus d’une fois qu’il pourrait être utile de décrire ma p

7 ictature. Tout le monde le sent, tout le monde le craint — et le désire sans se l’avouer. Voilà pourquoi personne ne bouge. C’

8 a théologie, surtout catholique. Tout cela, je le crains , relève d’un malentendu, courant sur le sens du mot « foi ». Je voudr

9 s 1924 : « Si plus tard on publie mon journal, je crains qu’il ne donne de moi une idée assez fausse. Je ne l’ai point tenu du

10 e séculariser le christianisme, comme beaucoup le craignent , s’y conforme de plus en plus, à mesure qu’il s’éloigne du mythe. Il

11 nt, Nietzsche n’écrit pas sans raison : « Il faut craindre celui qui se hait lui-même, car nous serons les victimes de sa colère

12 mour à l’immuable seul, toutes ces erreurs que tu craignais sont illusoires. Comme le moi. — La vue juste distingue et juge, mai

13 ki, Mysticism : Christian and Buddhist, p. 73. Je crains que l’auteur ne vienne ici à la rencontre des catégories de L’Amour