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ord contre le communisme, qu’il confondait, je le
crains
, avec les réformes sociales. En sortant de chez lui, les mains vides,
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es nations. En vérité, c’est la fédération qu’ils
craignent
, incapables qu’ils sont de l’imaginer comme autre chose qu’une nation
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et à tout jamais. Car s’il n’en restait qu’un, je
craindrais
celui-là, dit en substance François Mauriac (dans L’Express du 25 sep
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ur gouvernement ne cesse d’affirmer que l’URSS ne
craint
personne. Les Américains n’ont pas du tout peur des Russes, mais leur
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mands, comme vient de le montrer M. Mauriac. ⁂ Ne
craignons
pas les Russes, nous dit L’Express. Le vrai danger vient des Allemand
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nt, et je vois deux raisons considérables pour le
craindre
. La première, c’est que les contradictions essentielles entre la souv
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’homme, et que la Nature est innocente, leur fait
craindre
que la technique augmente la capacité humaine de faire du mal plutôt
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ne éventuelle neutralité européenne. Mais il faut
craindre
que des partis pris d’ordre sentimental plus qu’idéologique ne tranch
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ue de l’Occident en général. Quant au premier, je
crains
qu’il ne s’inspire de Machiavel, qui écrivait au xvie siècle : Svizz
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us de politique s’écria ce député consterné. — Je
crains
bien, répliquai-je, que votre cri du cœur ne définisse l’idée de la p
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hysiognomoniste : le disciple dit au maître : Je
crains
de ne plus rien comprendre… Est-ce moi qui touche le but ou bien le b
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ien tranchés, nos raisons de nous haïr et de nous
craindre
? Quand Khrouchtchev réitère que ses positions idéologiques sont irré
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rois routes suffit à donner son nom à tout ce que
craint
un solitaire : la trivialité, combien plus triviale encore doit être
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nait le refus : La nouvelle passion. — Pourquoi
craignons
et haïssons-nous la possibilité d’un retour à la barbarie ? Serait-ce
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fs. En revanche, pour la complexité, la Suisse ne
craint
personne ! Voici quelques raisons qui me portent à croire à l’avenir
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’heure au monde entier, et pour la modestie on ne
craindrait
plus personne. Cette image convenue de la Suisse de naguère ne ferait
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jadis terre d’Empire, je ne vois pas de motifs de
craindre
qu’il y ait plus d’« étrangers envahissants » que le tourisme et l’in
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terreur ou la méditation. (Cette réaction, je le
crains
, va se généraliser.) Et chacun s’efforçait de montrer que l’événement
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ques. Bombe atomique de poche et à retardement, à
craindre
de près pendant presque un siècle. Beaucoup des œuvres du Vinci ont é
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Son histoire n’est pas encore écrite, et il faut
craindre
qu’elle ne puisse l’être que d’une manière insuffisante ou fausse, si
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lités commandent deux politiques d’union, dont je
crains
bien qu’on ne puisse pas impunément continuer à mêler les moyens. On