1 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
1 e plus réjouissante en France ? Et ne faut-il pas craindre que certaines tentatives de restauration culturelle qui s’amorcent ic
2 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Importance de la notion de commune mesure
2 l’autre : il n’y a plus de fin commune. Elles se craignent et elles se méprisent. Elles ne parlent plus la même langue. Et si l’
3 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
3 éteint quelques-unes. Mais on aurait bien tort de craindre qu’ils ne se rompent le col à cette gymnastique. Elle reste purement
4 ue. Je vois le risque de ce développement ; et je crains qu’il n’emporte certaines adhésions, ou ne provoque certains refus do
5 s richesses. Celui qui ne possède rien n’a rien à craindre pour sa liberté tant que les moyens politiques ne prétendent pas le c
6 ssant ; et si la dictature, comme il faut bien le craindre , est exercée plutôt par la petite bourgeoisie, l’affaire est bonne en
4 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
7 bientôt chez nous les conclusions inévitables. Je crains ces renaissances toutes corrompues en germe par les vices qu’elles vo
8 tre les tentations du réformisme. Et par exemple, craignons les médecins malades, ceux qui feignent de nous comprendre, ceux dont
9 it. Mais l’individu a vécu. Ce mythe n’est plus à craindre que sous sa forme négative : le collectif. Ramener la question social
10 bien citer Joyce et ses jeunes disciples, mais je crains qu’ils ne fassent une erreur importante en négligeant les fins commun