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e plus réjouissante en France ? Et ne faut-il pas
craindre
que certaines tentatives de restauration culturelle qui s’amorcent ic
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l’autre : il n’y a plus de fin commune. Elles se
craignent
et elles se méprisent. Elles ne parlent plus la même langue. Et si l’
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éteint quelques-unes. Mais on aurait bien tort de
craindre
qu’ils ne se rompent le col à cette gymnastique. Elle reste purement
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ue. Je vois le risque de ce développement ; et je
crains
qu’il n’emporte certaines adhésions, ou ne provoque certains refus do
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s richesses. Celui qui ne possède rien n’a rien à
craindre
pour sa liberté tant que les moyens politiques ne prétendent pas le c
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ssant ; et si la dictature, comme il faut bien le
craindre
, est exercée plutôt par la petite bourgeoisie, l’affaire est bonne en
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bientôt chez nous les conclusions inévitables. Je
crains
ces renaissances toutes corrompues en germe par les vices qu’elles vo
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tre les tentations du réformisme. Et par exemple,
craignons
les médecins malades, ceux qui feignent de nous comprendre, ceux dont
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it. Mais l’individu a vécu. Ce mythe n’est plus à
craindre
que sous sa forme négative : le collectif. Ramener la question social
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bien citer Joyce et ses jeunes disciples, mais je
crains
qu’ils ne fassent une erreur importante en négligeant les fins commun