1 1943, Articles divers (1941-1946). Rhétorique américaine (juin-juillet 1943)
1 oins de talent, un long roman. De cet ouvrage, la critique américaine ne dira pas souvent : c’est bien écrit, mais plutôt : c’es
2 1944, Articles divers (1941-1946). L’attitude personnaliste (octobre 1944)
2 événements eux-mêmes se sont chargés de faire la critique de tant d’incohérences au sein desquelles le Français moyen pensait p
3 1944, Articles divers (1941-1946). Ars prophetica, ou D’un langage qui ne veut pas être clair (hiver 1944)
3 e qui ne veut pas être clair (hiver 1944)i Un critique . J’ai lu vos deux dialogues sur la carte postale6, je les aime bien…
4 présentent, comme cela se dit d’une blessure… Le critique . Oui, oui… Mais ne tirez pas argument d’une exagération de ma critiqu
5 ais ne tirez pas argument d’une exagération de ma critique … Ce qui me gênait, je crois, c’est qu’à mon sens vous n’êtes pas enco
6 est la bonne manière de se faire comprendre ? Le critique . On voudrait être sûr que vous vous comprenez assez. L’auteur. Assez
4 1944, Articles divers (1941-1946). Les règles du jeu dans l’art romanesque (1944-1945)
7 it par eux. Les règles étant connues, amateurs et critiques disposaient d’une mesure commune avec le créateur. Ils pouvaient esti
8 La Princesse de Clèves que l’on atteint la phase critique où la féerie cède à l’observation, la vérité créée, aux données vrais
9 anges est reçue sans le moindre étonnement par la critique moderne et par le grand public. Elle rend compte de l’insignifiance,
10 essaie de le faire oublier. D’où cet axiome de la critique moderne : un roman ne doit pas être « écrit ». Tous ces efforts trahi
5 1946, Articles divers (1941-1946). L’Américain croit à la vie, le Français aux raisons de vivre (19 juillet 1946)
11 il cite l’histoire, d’un ordre spirituel quand il critique un livre. Ce qu’il ne tolère pas, c’est le mensonge, et là précisémen