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cité, non comme tant de taupes insidieuses de la
critique
érigée en système, mais en homme de bonne volonté aux exhortations st
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personne, on peut tout reconstruire. Et faire une
critique
virulente de l’État-nation comme notre école l’avait fait dans les an
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itz et l’Holocauste. La faiblesse frappante de la
critique
tant libérale que marxiste, dès qu’elle essaie d’analyser le phénomèn
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utes faites, car elles tomberaient sous ma propre
critique
de l’utopie. Toute fédération, toute organisation fédérative est et d
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comme celle-là ! — mais va se concentrer sur les
critiques
que l’on pourrait faire, de manière, dit-il, à approfondir et clarifi
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la nocivité de l’État Selon R. Strassoldo, les
critiques
que je fais à l’État-nation ne sont pas suffisantes, car c’est tout l
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Maron (1984)u Les très intéressantes remarques
critiques
de M. Stanley Maron appellent de ma part les mises au point que voici
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é à gagner l’intérêt des éditeurs et l’amitié des
critiques
américains, pendant les années que j’ai passées là-bas, de 1941 à 194
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ppelant la question judicieuse qu’un des premiers
critiques
des médias, Raymond Williams, posait à propos de l’acte de communicat
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r quoi ? Un jour, ce devait être en 1931, chez le
critique
Charles Du Bos, un jeune homme à l’accent nettement russe me remit un
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s matières limpides, je cherche la simplicité. La
critique
doit pouvoir être rigoureuse sans être aride, elle peut satisfaire au
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ni ma tâche : conférer à l’essai littéraire, à la
critique
, à l’histoire elle-même, le caractère musical et la plénitude d’une c
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ce pays. Et Jean Starobinski est certainement le
critique
le plus littéraire de notre temps, dès lors que sa critique a valeur
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e plus littéraire de notre temps, dès lors que sa
critique
a valeur « littéraire » par elle-même. Écrivain comme peu d’autres, i
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titre. Il ne s’agit nullement de biographie ni de
critique
proprement littéraire. Il s’agit du mouvement créateur de la personne
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avec le monde ; et troisième temps, l’acceptation
critique
du « paraître », des apparences, de la réalité existentielle, dirions
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près Montaigne », Starobinski baisse le masque du
critique
et prend la parole en son nom. Ce passage est pour moi bien émouvant.
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oi bien émouvant. Je cite : « L’acte ultime de la
critique
est de signaler que le choix politico-religieux n’est pas de son ress
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beaucoup plus tard, au début des années 1970, une
critique
sévère des régimes totalitaires et en particulier du régime soviétiqu
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ait dire qu’ils se réclamaient de la tradition de
critique
nietzschéenne, d’une critique « au marteau », qui peut être très cons
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de la tradition de critique nietzschéenne, d’une
critique
« au marteau », qui peut être très constructive. C’est d’ailleurs dan
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ant post-scriptum dans lequel l’auteur réfute les
critiques
portées contre la première édition. L’ouvrage, traduit en 14 langues,
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cle romantique, le grand public et la plupart des
critiques
semblent penser que la littérature c’est poésie, roman, théâtre, et q
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use selon laquelle « toute poursuite pour fait de
critique
est interdite. Les personnes qui s’en rendent coupables ont à en répo