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ent, mais d’une telle manière que des conclusions
critiques
s’en dégagent avec évidence. Van Gogh fut une proie du génie. L’homme
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onde par l’Europe intellectuelle. Grand siècle de
critique
pour lequel nos contemporains accumulent les documents. La littératur
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notation suggestive, telles sont les vertus de sa
critique
. Ce n’est que dans sa discrétion à louer une grande œuvre qu’on trouv
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peine à l’annexer à son propre corps de doctrines
critiques
. Dirai-je pourtant que je crains qu’il n’ait été incité parfois, et p
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ment, tout ce qui semble viable et humain dans la
critique
moderne du romantisme, Vinet l’avait trouvé. Mais sa position puremen
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re leur déséquilibre. Il serait temps de faire la
critique
des méthodes et des façons de vivre autant que de penser qui les ont
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e paraît le meilleur de son œuvre : ses récits de
critique
et d’esthétique (Le Coq et l’Arlequin, la Noce massacrée, le Secret p
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ine chez les jeunes écrivains d’aujourd’hui. La «
critique
philosophique » qu’il voudrait inaugurer « ne se contenterait pas d’é
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lui faire acquérir droit de cité. Voici enfin un
critique
qui sait tirer une leçon constructive des expériences entreprises par
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te couronne une série d’expériences négatives. La
critique
de ces expériences négatives est contenue surtout dans ses essais sur
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intermittences du cœur » dont Fernandez donne une
critique
décisive. Et c’est justement par opposition à la conception proustien
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et le plus impur qui soit. On n’a pas ménagé les
critiques
à cette œuvre. Cela tient surtout à sa forme : il est parfois agaçant
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e inhérent, dans une certaine mesure, au genre de
critique
pratiqué par Fernandez. Périlleuse situation que la sienne, en effet,
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le Chinois s’étonne non sans quelque aigreur, et
critique
avec un mépris tranquille ; le Français riposte sans conviction, et s
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intelligence européenne libre peut souscrire aux
critiques
du Chinois et sympathiser avec son idéal de culture. Il n’y a pas là
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re moi et vous, c’est la guerre. » Voilà pour les
critiques
, « punaises glabres et poux barbus », qui perdraient leur temps à rec
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orains, et qu’il vient appuyer de son autorité de
critique
et surtout de son expérience déjà riche de romancier. Son regard se p
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ne le croient. Certes il était urgent de faire la
critique
de « cette réalité de premier plan qui nous empêche de bouger », comm
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et moi et Je suis un homme (janvier 1929)ax Le
critique
se sent désarmé et légèrement absurde en face d’un récit comme celui
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us réellement dangereuse. On sent bien ici que le
critique
a dominé son sujet. Mais pourquoi se refuse-t-il à tirer de ces remar
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le livre le plus significatif de son tempérament
critique
. Le style d’abord : on y retrouve, appliqué aux mots, ce même sens à
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défaut qui relève de la nature même d’un esprit «
critique
» dans l’exercice de sa probité ? Défaut combien plus précieux que l’
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érite aujourd’hui l’un des premiers rangs dans la
critique
européenne, l’ampleur du champ qui lui est naturellement nécessaire s
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en profondeur. Il la possède. On peut dire de sa
critique
qu’elle pose le problème de l’homme dans sa totalité, et c’est je cro
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qu’elle « approche » : on pourrait l’appeler une
critique
des obstacles. Je veux dire par là que M. Du Bos parvient à recréer c
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créateur. Car une telle conscience appartient au
critique
avant tout, et c’est pourquoi il fait de la critique en présence des
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tique avant tout, et c’est pourquoi il fait de la
critique
en présence des obstacles qu’il rencontre, là où le créateur, supposa