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ulent à son sujet sont justifiés, de même que les
critiques
à la Duhamel et les enthousiasmes à la Jules Romains ; mais rien de t
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s films américains au lendemain de la guerre. Les
critiques
, les échos de presse, et même les spectateurs, sont unanimes : Hollyw
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européens sur l’Amérique. On n’a pas épargné les
critiques
à la politique d’occupation américaine en Allemagne : « Ils sont trop
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uons que les Russes ne prêtent pas le flanc à des
critiques
de ce genre parce qu’ils ne publient rien, interdisent les reportages