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t de ce point de vue central et seul efficacement
critique
que nous devons envisager les perspectives de la vie publique et priv
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talisme puritain qu’ils veulent combattre ? Cette
critique
semble pouvoir s’appliquer également au groupement tout récent qui s’
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de Philip, on ne trouvera guère d’écho à l’effort
critique
de la « théologie politique » allemande que dans le mince bulletin du
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s qu’il croit à l’essentiel de ce qu’il dit —, la
critique
littéraire de cette littérature n’a plus de sens réel, ni plus d’auto
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u’ils n’annoncent la venue d’un nouvel ordre. Une
critique
dépourvue de critère indépendant de la littérature est condamnée à ne
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lle, c’est qu’elle s’est rendue justiciable de la
critique
des marxistes. « L’art pour l’art » reste sa méthode, et lui tient li
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ques, à l’établissement des bourgeois. Mais cette
critique
« de classe » reste encore négative. Elle se condamne aussi à rendre
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l’absence de jugement. S’il est un genre que nos
critiques
sont unanimes à condamner sans nul recours, c’est celui du roman à th
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bénéficié pendant plusieurs années, auprès de la
critique
bourgeoise, d’une attention d’autant plus sympathique qu’il criait fo
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me du mauvais Zola), l’intérêt humain faiblit, la
critique
littéraire reprend ses droits et proteste une fois de plus contre les
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uil, Les Uns les Autres (avril 1935)m L’un des
critiques
qui aient parlé le mieux, je crois, avec le plus de sympathie et de p
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e la négligence et la frivolité désastreuse de la
critique
littéraire d’aujourd’hui. Voici un roman qui pose les questions les p
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e rétablir un peu l’échelle de nos jugements ? La
critique
se tait sur Edschmid, l’Académie refuse Claudel. État de l’élite fran
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rets de notre destin à tous ? L’ostracisme de nos
critiques
est d’ailleurs d’autant plus absurde que ce livre — écrit par un juif
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ie poétique précieuse et somnifère, et une partie
critique
dont l’intérêt dépasse tout ce que les surréalistes nous ont donné ju
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de langage sont… symboliques et sont sujettes aux
critiques
que l’on est en droit de formuler quant à la logique dont elles ont l
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raît souvent plus audacieuse et subversive. Tzara
critique
avec vigueur la poésie de propagande et le désir secret de « sécurité
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ttérature. Je ne veux indiquer que l’amorce d’une
critique
générale de notre éducation. Je ne veux mettre en relief qu’un seul t
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en réalité démissionnaire, de la pensée. La seule
critique
solide et efficace des doctrines intellectualistes, c’est celle qui c
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temporains, à tort et à travers, opposent à toute
critique
un peu trop perspicace. Ils ont au fond raison, leur instinct a raiso
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st toujours un acte créateur en même temps qu’une
critique
radicale. Je crois apercevoir d’ici une possibilité de repêchage du p
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re forme de propriété demeurant justiciable de la
critique
de Proudhon.) Décrire le « domaine » d’un auteur authentique, c’est a
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l de ce nom : mais c’est aussi ce qu’une certaine
critique
ne veut point pardonner à Ramuz. Un écrivain français de la tradition
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roman policier : il n’a pas de psychologie. Et la
critique
parle beaucoup de subjectivité et d’objectivité. Dans le monde de Ram
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à rejeter tous les intermédiaires culturels, s’il
critique
le machinisme, s’il raille le confort de ses concitoyens, leurs assur
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1936)s I. La culture soviétique Lorsqu’on
critique
les fondements doctrinaux du régime de l’URSS l’on s’attire d’ordinai
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culture soviétique si l’on se refusait à l’examen
critique
des doctrines qui sont à sa base. Je ne dis pas qu’elles n’aient été
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es visiteurs, ceux-ci reviennent persuadés que la
critique
d’un clerc y perd ses droits et n’est plus à l’échelle du phénomène…
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e plus, chance de plus, d’essayer d’élargir cette
critique
, et notre idée de la culture s’il le faut. Quand l’esprit « perd ses
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ise peut-être à l’excès les généralisations de la
critique
, les rapprochements et les oppositions sommaires. Mais un fait demeur
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ela suffira sans doute à rendre vaines toutes mes
critiques
aux yeux des intellectuels bourgeois justement tourmentés dans leur c
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re non à tout, ni oui à tout ; c’est un devoir de
critique
lucide, et j’ajouterai de critique méfiante, dans la mesure où les je
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t un devoir de critique lucide, et j’ajouterai de
critique
méfiante, dans la mesure où les jeunes communistes viennent à nous av
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gure sans précédent, ne sont pas justiciables des
critiques
qu’on leur adresse d’ordinaire en France au nom de quelques lieux com
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déjà acquis, le seul qui tombe sous le coup d’une
critique
générale, indépendamment de tout jugement politique, est aussi celui
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nous y avons porté le fer d’une main assurée. Vos
critiques
ne nous touchent pas, parce qu’elles ne tiennent pas compte des faits
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exemple vous sera certainement plus utile que les
critiques
de nos vieillards. Dans cette tâche-là, je vois le seul fondement d’u
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le volume, faisant suite à ces documentaires, une
critique
de l’État — « Le Tous contre un » — et de son emprise sur nos vies. C
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ous contre un » — et de son emprise sur nos vies.
Critique
dont la portée directe et l’évidence insupportable naissent non point
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Quand ils en publiaient naguère deux ou trois, la
critique
se montrait attentive. Mais on n’aime pas que « l’afflux des jeunes t
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e rôle, notre « partialité » fondamentale dans la
critique
. Nous serons ramenés à tout propos, bon gré mal gré, aux mêmes questi
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roit de ce nouvel érotisme, la même erreur que la
critique
française à l’endroit de la gauloiserie : on s’imagine que c’est du r
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luff stalinien ; et je ne dis pas du tout : d’une
critique
de ce qu’il y a de profond dans le marxisme, mais d’une dénonciation
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ibliographies, il s’occupe de secteur plané de la
critique
. Thibaudet, lui, s’ébat dans le secteur libre. Il en abuse merveilleu
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use merveilleusement. C’est le chef-d’œuvre de la
critique
impressionniste (après quoi elle n’a plus qu’à mourir). Dès lors tout
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ouissante désinvolture ! Thibaudet fut bien moins
critique
qu’essayiste, avec tout ce que cela peut comporter de création person
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d’idées que reste pour nous Thibaudet. Dans cette
critique
que je voudrais appeler une critique de consommateur (dans tous les s
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. Dans cette critique que je voudrais appeler une
critique
de consommateur (dans tous les sens de l’expression), c’est l’euphori
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je me formule en vertu d’une habitude scolaire de
critique
, me touche si peu, ne trouble pas du tout ma bonne conscience. Au fon
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oir jamais vu. Il n’est pas arrêté par nos tabous
critiques
. Il va tout droit à ce qui le concerne, et c’était justement, parfois
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me — juge à peu près régulièrement à l’inverse du
critique
parisien. Il trouve concret ce que le critique aura jugé paradoxal et
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du critique parisien. Il trouve concret ce que le
critique
aura jugé paradoxal et gratuit, il néglige au contraire certaines qua
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rieuses ou certains ornements de la pensée que le
critique
, blasé par des lectures trop rapides, et plus sensible aux tics qu’à
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contact avec l’homme qui réfléchit et qui fait la
critique
des idées non point à l’aide des opinions de son journal, mais à l’ai
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qui est artificiel dans ce qu’il écrit. Et cette
critique
directe, informulée, parfois dramatique, c’est bien la seule qui puis
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ait bien.) Mais si nous essayons de limiter notre
critique
aux ouvrages qui présentent un sens quelconque pour notre action — so
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ui ne sont ni démocratiques ni nationaux. La même
critique
peut d’ailleurs s’adresser à notre presse d’extrême gauche lorsqu’ell
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dans le choix qui détermine une existence. 2.
Critique
du mariage Si je ne vois pas de raison qui tienne contre la passio
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affirmer le mariage qu’au-delà des deux premières
critiques
et en chemin vers la troisième, c’est-à-dire en maintenant sans cesse
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ritiquer le régime des partis. Ils ont mené cette
critique
dès leurs débuts, dès les années 1930 à 1932, avec une pertinence et
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et à le prouver. Or, il ne paraît pas qu’à cette
critique
ait répondu jusqu’à présent un dynamisme constructeur d’une intensité
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ouvement personnaliste s’explique par un excès de
critique
négative, d’origine universitaire, ou comme on dit : « intellectualis
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ement ait péché par défaut de radicalisme dans sa
critique
négative. Mon expérience des groupes et des congrès personnalistes m
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t plus que cent-mille mains qui se lèvent. 28. La
critique
des partis n’est stérile que dans la mesure où elle n’est pas radical
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mesure où elle n’est pas radicale. ar. « D’une
critique
stérile », Esprit, Paris, n° 80, mai 1939, p. 264-267.
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s pas cela contre vous. Je le dis pour situer vos
critiques
dans l’esprit de votre lecteur — et du mien. Car en fait, je ne préte
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ents qu’elle authentifie. En tant qu’érudition et
critique
dite « sérieuse », elle se constitue proprement par le refus d’admett
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ersité de Halle110. Or il se trouve que plusieurs
critiques
m’ont adressé le reproche inverse : celui d’avoir donné de l’amour co
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de chacun de mes articles trop favorables ou trop
critiques
sur l’Amérique ! Car le contraire, chaque fois, peut aussi être vrai.
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ays que je connaisse, l’avantage d’accueillir les
critiques
avec mieux que de la tolérance : avec une volonté souriante mais séri
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re, a besoin de l’Europe, j’entends de son esprit
critique
autant que de son sens inventif. […] La fédération européenne ne sera
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n article vous a servi : l’attaquer dépannait vos
critiques
aux yeux des bien-pensants d’une certaine gauche, sectaire comme on n