1 émordu.) Après tout, les socialistes français que critique justement M. Muret, ne sont coupables que d’avoir partagé l’erreur fa

2 es dans ce qu’ils impriment, et manquent d’esprit critique . Quant à leurs loufoqueries, ne croyons pas qu’ils les prennent au sé

3 ur la plupart auteurs connus, poètes, romanciers, critiques et sociologues, et un vieil ami suisse, Paul Boepple, chef du départe

4 ope et le monde que je leur ai brièvement exposé. Critiques et suggestions d’une pertinence parfaite. Je visite la colline avec A

5 règne une liberté spontanément disciplinée par la critique mutuelle. Deux meneurs de jeu par colloque, et ils ne peuvent apparte

6 istants. Pour l’Université véritable : évaluation critique , recherche, initiative créatrice donc risquée. Là, on s’efforce de « 

7 nnée à la société, donc privée de liberté dans la critique et de gratuité dans l’imagination, cesserait du même coup d’être une

8 t responsables, mais elle invente aussi l’analyse critique , elle la conduit à ses dernières conséquences, découvre ainsi l’idée

9 qui me disent : « Merci, vous nous vengez. » Vos critiques semblent s’adresser surtout à un système scolaire très centralisé, co

10 and l’homme en place invoque les « réalités », le critique répond : « Vous ne voyez pas la vraie réalité parce que vous êtes aux

11 ne série d’écrits tout récents l’essentiel de ses critiques quadragénaires. Il cite Ivan Illich, un professeur français, un minis