1
s, d’ailleurs, que l’attitude presque constamment
critique
de M. de Traz diminue l’intérêt vivant de son livre : cette impartial
2
igue, paraît-il. « Achetez français », disent les
critiques
, à l’instar de l’affiche (dont il faut regretter qu’elle soit elle-mê
3
ns — l’information reste impartiale et le ton des
critiques
objectif. Un grand magazine publiait l’autre semaine deux articles en
4
. Mais la caricature veut ces déformations, si la
critique
honnête les réprouve. Tout autre chose est d’affirmer que j’ai « jeté
5
c’est-à-dire déserté, peu de jours auparavant. Un
critique
qui l’en accuserait, à ce moment-là, serait requis de s’en expliquer
6
. C’est un homme sérieux et ouvert, doué d’esprit
critique
mais capable de s’enthousiasmer autant que de s’indigner. Les motifs
7
— j’avais alors un peu plus de 17 ans — était une
critique
d’un livre de Montherlant intitulé Le Paradis à l’ombre des épées et