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la plus inquiétante sans doute, pour notre esprit
critique
. Il résulte de cette étude un gros livre que trois éditeurs refusent
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ermet un humour souvent rude ; de cette puissance
critique
enfin, au sens le plus créateur du terme, et qui met en état de crise
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le texte sacré nous adresse. Tout au contraire du
critique
moderne, qui se pose en juge du texte, Calvin n’admet et ne pratique
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itue l’introduction, dans l’étude biographique et
critique
de Carl Koch6, qui vient combler la plus grave lacune de la littératu
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grand livre. Le silence à peu près général de la
critique
à propos d’une telle œuvre donnerait lieu à des conclusions amères. A
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ait lieu à des conclusions amères. Amères pour la
critique
surtout, je crois. Car Sara Alelia trouvera son public ; c’est un liv
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t égard, le Problème du Bien mériterait un examen
critique
dont le cadre de ma chronique ne saurait supporter même l’esquisse. M
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, Paris, n° 726, 12 septembre 1936, p. 5. m. Une
critique
de l’ouvrage de Wilfred Monod paraît également dans Hic et Nunc de