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n’est plus étranger au nominalisme qui envahit la
critique
sous l’influence du journal. 2. Ici encore, on ne peut opposer ce co
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ns, le dernier livre de M. Duhamel, consacré à la
critique
des aspects orduriers et bassement mécaniques de la vie moderne, illu
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la fois trop et trop peu. Car, ou bien M. Duhamel
critique
l’abus des mécaniques, ce qui revient à faire le vain procès de la bê
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de la révolte ? On serait en droit d’exiger d’un
critique
de son temps qu’il déclare ce qu’il attend de l’homme. Après quoi seu
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en marge de son œuvre romanesque. Un Kierkegaard
critique
ses mesures morales, en donne la référence : ce Dieu terrible. Et sa
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sordre établi. Mais nous allons plus loin dans la
critique
de ce désordre : jusqu’à ce point où le marxisme, révélant sa vraie n
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cents, se verrait décerner le titre de « monument
critique
». Tel qu’il est, un petit chef-d’œuvre d’humanisme poétique. Car l’«
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ie Schmidt nous restitue au cours de son essai de
critique
exemplaire. m. « Saint-Évremond ou L’humaniste impur, par Albert-Ma
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tel ouvrage. M. Thibaudet réclamait ici même une
critique
qui « contingentât » l’importation des mystiques étrangères. Oui, mai
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interne dans notre culture : elle s’enchante, se
critique
, se légitime elle-même. Elle a ses lois, qui se suffisent. Les concep
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onne pour tel. Il faut des repères pour juger. La
critique
moderne l’oublie un peu, animée d’une méfiance étrange pour celui qui
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évèle au cours de ce Journal ; mais le malaise du
critique
commence au-delà de ce premier piège évité. Il naît de la difficulté
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ront pas d’abuser. Voici qui va fort loin dans la
critique
du genre : « Je ne pense pas qu’il y ait grand profit à tirer de ces
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s qu’il demandait jadis qu’on rende à l’art, la «
critique
dogmatique » des grandes époques, ne sont plus que mensonges à ses ye
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nous faisons à l’anonyme, la condamnation par nos
critiques
du style impersonnel ou de la banalité, la dénonciation de l’on par n