1 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
1 is que soit l’un dans le détail de sa dialectique critique , et si généreux que se veuille le second dans ses attaques contre un
2 1934, Le Semeur, articles (1933–1949). Sur la méthode de M. Goguel (novembre 1934)
2 et fait de son auteur le maître incontesté de nos critiques du Nouveau Testament. C’est l’œuvre d’un savant spécialisé, au premie
3 ecteur se sent autorisé à la plus grande exigence critique . À vrai dire, M. Goguel ne paraît pas s’être beaucoup préoccupé de ju
4 aisé de la définir. Elle recourt avant tout à la critique interne des textes, mais aussi, nous venons de le voir, à des données
5 prix aux quelques faits qui résistent à l’érosion critique , et qui permettent alors de réfuter M. Couchoud. Dirons-nous que cett
6 du point de vue de la foi vivante, les postulats critiques de l’auteur n’ont aucune force de contrainte. C’est l’Écriture et le
7 historiens modernes qui ont voulu déduire de leur critique la relativité des articles de foi, M. Goguel cherche à débarrasser la
8 ît être, en fin de compte, la justification de la critique historique. C’est dire qu’elle triomphe en général au terme des basse
9  1, novembre 1934, p. 29-35. Il s’agit d’une note critique de La Foi à la résurrection de Jésus dans le christianisme primitif,
3 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
10 ou tout au moins à m’approcher avec une prudence critique extrême, de ce que l’on nomme l’idéal socialiste ? Beaucoup de braves
11 s camarades. Pensant à eux, je résumerai toute ma critique dans une seule phrase : un tel compromis n’est possible, comme un dou
12 s. Mais je crois qu’un chrétien peut adresser une critique encore plus grave à tout parti. L’idée même de parti paraît absolumen
13 s époques de transition des bases culturelles, la critique qui ne jaillit pas de la métaphysique et d’une véritable compréhensio
4 1945, Le Semeur, articles (1933–1949). La responsabilité culturelle de l’Église (mars 1945)
14 de sabotage ceux qui maintiennent une attitude de critique exigeante ou un sens normal de la justice. En outre, la guerre a touj
15 ntive à préserver les droits et les devoirs de la critique théologique sur tous les plans et pas seulement d’une façon négative
16 quences sociales et communautaires. La principale critique que l’on puisse adresser à ce point de vue est la suivante : une idéo
5 1946, Le Semeur, articles (1933–1949). Chances d’action du christianisme (juin-juillet 1946)
17 trêmes, avec une belle indépendance vis-à-vis des critiques de l’extérieur. Renaissance du thomisme et des études mystiques chez