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aison très précise et qui n’a rien à voir avec la
critique
littéraire. À la page 43 de l’édition que j’ai sous les yeux, je lis
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voquerais par exemple un meeting pour exposer mes
critiques
ci-dessus consignées, et mettre en discussion mes projets de réforme.
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que j’avais dit à leur situation concrète. Esprit
critique
, méfiance intelligente des paysans, conscience de leur autonomie… Je
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interne dans notre culture : elle s’enchante, se
critique
, se légitime elle-même. Elle a ses lois, qui se suffisent. Les concep
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e sensualité défaillante, qui soutiendrait mal la
critique
d’un intellect intact et offensif. Peu capables de dominer le conflit
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issante, au développement furieux de notre esprit
critique
. Il y a des jours où tout, oui vraiment tout, les rues, les gens, les
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je me formule en vertu d’une habitude scolaire de
critique
, me touche si peu, ne trouble pas du tout ma bonne conscience. Au fon
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oir jamais vu. Il n’est pas arrêté par nos tabous
critiques
. Il va tout droit à ce qui le concerne, et c’était justement, parfois
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me — juge à peu près régulièrement à l’inverse du
critique
parisien. Il trouve concret ce que le critique aura jugé paradoxal et
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du critique parisien. Il trouve concret ce que le
critique
aura jugé paradoxal et gratuit, il néglige au contraire certaines qua
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rieuses ou certains ornements de la pensée que le
critique
, blasé par des lectures trop rapides, et plus sensible aux tics qu’à
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contact avec l’homme qui réfléchit et qui fait la
critique
des idées non point à l’aide des opinions de son journal, mais à l’ai
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qui est artificiel dans ce qu’il écrit. Et cette
critique
directe, informulée, parfois dramatique, c’est bien la seule qui puis