1 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
1 rsonne, si les mots n’ont plus de pouvoir, si les critiques même les plus perspicaces de notre temps sont autant de cris dans le
2 ar exemple. Nous y voyons s’opérer depuis peu une critique générale de l’illusion déterministe. Les fameuses lois de l’Histoire
2 1940, Mission ou démission de la Suisse. Neutralité oblige, (1937)
3 ui ne sont ni démocratiques ni nationaux. La même critique peut d’ailleurs s’adresser à notre presse d’extrême gauche lorsqu’ell
3 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
4 e consacre la première partie de cette étude à la critique , pour ne pas dire au dégonflage de ces clichés. Notre assemblée, et c
5 e liberté est justement le courage d’admettre les critiques les plus amères, et d’en tirer profit s’il y a lieu. « Un jour, écrit
6 et avec joie, je suis certain que la plupart des critiques auxquelles j’ai dû me livrer en débutant perdront leur légitimité. Si