1 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
1 s encore des jérémiades sur le déclin de l’esprit critique et l’abandon des grands principes. « C’est inconcevable ! » opineront
2 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
2 d parce qu’elle est le seul régime qui tolère une critique railleuse. Ensuite, parce que l’humour est nécessaire pour la bonne m
3 ntimement persuadé que la démocratie dépérit sans critique , dénonce d’avance comme totalitaires ceux qui verront dans les procha
3 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
4 mpères. Ils observaient le Philanthrope, d’un œil critique . Un pauvre homme l’arrêta pour lui demander une cigarette, dans un an
4 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
5 on spirituelle, et cela s’appelait droit de libre critique . Tout cela s’explique et des générations de romanciers nous ont montr